L’atelier de Michel Roncerel, à Vernon
2012; Comité national de l'estampe; Issue: 241 Linguagem: Francês
10.4000/estampe.944
ISSN2680-4999
Autores Tópico(s)French Urban and Social Studies
ResumoMICHEL RONCERELAu 35 de l'avenue Montgomery à Vernon, département de l'Eure, dans le jardin de la maison familiale de brique et pierre crépie, un jardin tout en longueur, avec des fleurs de toutes sortes, ainsi que des poiriers et des pommiers en espaliers le long du mur mitoyen ouest, et parfois perpendiculaires, Michel Roncerel a fait bâtir un appentis accolé au mur mitoyen est, constitué d'un rez-de-chaussée d'une trentaine de mètres carrés et d'un grenier auquel on accède par une échelle et une trappe, le tout couvert de tuiles mécaniques rouge brique.Tout de suite quand on entre, s'impose la présence de la grande presse à taille-douce, avec son énorme volant circulaire.Elle vient, comme l'indique une plaque de laiton gravée, de chez « H. FLEURY Constructeur mécanicien 65-67 rue Froidevaux à Paris », un des nombreux fabricants de presses à imprimer dans les années 1880.Elle était passée chez Chaumont, qui imprimait des tailles-douces rue Didot, puis chez Mario Boni rue Bénard avant d'arriver chez Roncerel.Mais commençons le tour de l'atelier par la gauche, en suivant le sens du mouvement des aiguilles d'une montre.Franchi la porte vitrée, une petite presse à taille-douce (le passage doit être de trente centimètres) qui fut sa première presse personnelle ; elle est en fonte, le bâti peint de couleur verte, le plateau mobile supporté par un plan de bois.Elle ne porte pas de nom mais, selon Bruno Gary-Thibeau, ce serait une Aubert, destinée à imprimer les cartes de visite 1 .Sur le mur de gauche figurent des affiches fixées par des pointes.La première signale une exposition personnelle à Nîmes, au Carré d'art,
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