Artigo Revisado por pares

Captive or victim: the Board of Broadcast Governors and Bernstein's Law, 1958–68

1983; Wiley; Volume: 26; Issue: 4 Linguagem: Francês

10.1111/j.1754-7121.1983.tb01044.x

ISSN

1754-7121

Autores

W. H. N. Hull,

Tópico(s)

Comparative and International Law Studies

Resumo

Abstract: Marver Bernstein has suggested that there is a cyclical pattern to the life of a regulatory agency and that after a initial honeymoon public support for the agency falls away, leaving the agency subject to capture by the industry supposedly being regulated. This thesis is applied to the Board of Broadcast Governors, 1958–68. After a brief examination of the history of the Board, its purpose and powers and the concept of independence in the Canadian regulatory process, the author examines five examples of alleged capture: the Canadian content regulations, the development and structuring of the CTV network. the extension of the second television stations, the delay in the introduction of cable TV and the introduction of colour television. The conclusion is drawn that the Board, while it of necessity kept the interests of the private sector in broadcasting in mind, was not the captive of the industry but rather a victim of indifferent ministerial support, vacillating and at times unknown government policies, uncertain financial commitments, inadequate legislation and a schizophrenic public. Finally, it is suggested that a conflict resolution model would provide another useful analytical approach to the study of the Board's activity. Sommaire: Marver Bernstein a acancé l'idée que l'existence d'un organisme de régulation est réglée de maniére cyclique et, qu'aprés une période initiale de “lune de miel”, arrive un moment ou l'organisme ne reçoit plus le soutien politique du groupe qui l'a Créé et risque alors de tomber sous la tutelle de l'industrie qu'il est censé contrder. Cette thése est appliquée ici au Bureau des gouverneurs de la radiodiffusion, pour la période allant de 1958 à 1968. Aprés un bref examen de l'histoire du Bureau, de ses objectifs et pouvoirs et du concept d'indépendance dans l'exercice des fonctions de régulation au Canada, l'auteur étudie cinq exemples de soi‐disant tutelle: la réglementation sur le contenu canadien, le développement et la structuration du réseau GTV, l'accroissement du nombre des stations appartenant au second réseau de télévision, le retard dans la création de la câblodiffusion et l'introduction de la télévision en couleur. L‘étude conclut que le Bureau qui, par la force des choses, n’ a jamais perdu de vue les intérêts du secteur privé, n‘ a cependant pas été l'otage de l'industrie inais plutôt la victime de plusieurs autres facteurs: I'indifference ministérielle, des politiques gouvernementales mal définies et même parfois inconnues, des engagements financiers incertains, me législation inadéquate et un public schizophrene. En terminant, l'auteur suggère qu'un modèle de résolution des conflits permettrait cl'aborder différeniment et utilement l'analyse des activités de ce Bureau.

Referência(s)
Altmetric
PlumX