Artigo Revisado por pares

Child sexual abuse prevention: Evaluation and one-year follow-up

1991; Elsevier BV; Volume: 15; Issue: 1-2 Linguagem: Francês

10.1016/0145-2134(91)90097-w

ISSN

1873-7757

Autores

Ann Hazzard, Carol Webb, Carol Kleemeier, Lisa Angert, Judy Pohl,

Tópico(s)

Early Childhood Education and Development

Resumo

Because of the high incidence and negative psychological consequences of child sexual abuse, prevention programs have been developed and implemented nationwide. Few programs, however, have been comprehensively evaluated. In this multimodal study, a 3-session adaptation of the Feeling Yes, Feeling No curriculum was provided to 286 third and fourth graders from four schools whose responses were compared to 113 delayed-treatment control children from two schools. Program impact was assessed using a knowledge scale, the State-Trait Anxiety Inventory for Children, a videotape vignettes measure, a parent questionnaire, and disclosure data. Treatment children exhibited significantly greater knowledge and better ability to discriminate safe from unsafe situations on the video measure than control children at posttesting. These gains were maintained at 6-week follow-up testing. There were no differences in treatment and control children's self-reported anxiety or parents' reports of negative emotional/behavioral consequences, which were minimal. Over 5% of participating children reported ongoing or past sexual abuse. In the One-Year Follow-Up Study, children's knowledge gains and prevention skills scores on the video measure were maintained at one-year follow-up. A 1-session "booster shot" program further enhanced children's safety discrimination skills on the video measure. Devant la haute incidence des conséquences psychologiques négatives chez des enfants sexuellement abusés, des programmes de prévention ont été développés et implantés dans tout le pays. Très peu cependant ont étéévalués de façon approfondie. Dans l'étude I une version en trois séances programme (canadien) "Yes feeling-no feeling" a été présentée a 286 enfants de troisième et quatrième primaire de quatre écoles, dont les réactions ont été comparées à 113 enfants-contrôles de deux écoles où la formation a été retardée. L'impact du programme a étéévalué à l'aide d'une échelle de connaissance, du test State-Trait d'anxiété pour enfants, d'un test par scènettes vidéo, d'un questionnaire aux parents et des données sur la révélation d'abus sexuels. Les enfants traîtés présentaient une meilleure connaissance et une plus grande aptitude à différentier les situations sans risque des situations dangereuses, présentées en vidéo que les enfants contrôles. Les bénéfices étaient maintenus au test d'évaluation 6 semaines plus tard. Il n'y avait pas de différences entre les enfants traîtés et les contrôles en ce qui concernait l'anxiété exprimée par les enfants eux-mêmes et les conséquences émotionelles ou comportementales négatives exprimées par les parents. Ces deux réactions étaient minimes. 5% des enfants participants ont signalé un abus sexuel passé ou présent. Dans l'étude Il la connaissance acquise par les enfants et les scores de comportement préventif au test vidéo étaient maintenus à l'évaluation à un an. Un programme de réactivation d'une seule session renforçait encore la capacité des enfants à percevoir le danger au test vidéo. La discussion se centre sur la nécessité d'une évaluation à long terme comparant les taux d'incidence d'abus sexuel chez les enfants entraînes et non entraînés. Debido a la alta incidencia y las consecuencias psicológicas negativas del abuso sexual al menor, se han desarrollado e implementado programas de prevención por todo el país. Pocos de estos programas, sin embargo, han sido adecuadamente evaluados. En Study I, una adaptación de 3 sesiones del programa, Feeling yes, Feeling No fue presentada a 286 escolares del tercer y cuarto grado en cuatro escuelas, y se compararon sus respuestas con las de 113 escolares retrasados como control en dos escuelas. El impacto del programa fue evaluado a través del uso de la State-Trait Anxiety Inventory for Children, un historial clínico utilizando videotape, un cuestionario para los padres, así como datos de la denuncia. Los niños expuestos al programa mostraron un conocimiento y una habilidad mayores en la discriminación de las situaciones peligrosas y no peligrosas de acuerdo con la medida del video que los niños del grupo control. Estas diferencias fueron mantenidas en las pruebas después de 6 semanas, No hubo diferencia en el tratamiento y en la ansiedad auto reportada por los niños del grupo control ni en los reportes de los padres del grupo con consecuencias negativas emocionales y conductuales, que fueron mínimas. De los niños que participaron, más del 5% reportaron abuso sexual que estaba ocurriendo en el presente o en el pasado. En Study 2, los conocimientos de los niños de acuerdo con la medida del video fueron mantenidas al cabo de un año. Una sesión extra del programa contribuyó a aumentar la discriminación entre las situaciones peligrosas/no peligrosas de acuerdo con la medida del video. La discusión pone énfasis en la necesidad de comparar a largo plazo la incidencia de abuso sexual en los niños entrenados y los no entrenados.

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