Corticosteroids and tuberculosis: risks and use as adjunct therapy

1993; Churchill Livingstone; Volume: 74; Issue: 1 Linguagem: Francês

10.1016/0962-8479(93)90060-b

ISSN

1532-219X

Autores

Abdulaziz H. Alzeer, J. Mark FitzGerald,

Tópico(s)

Medical Imaging and Pathology Studies

Resumo

Adjunct therapy with corticosteroids, in conjunction with antituberculous drugs, may be appropriate in particular forms of tuberculosis. Prospective controlled trials have shown a benefit in tuberculous meningitis, pericardial and pleural disease. Although benefit has been shown in pleural disease, adjunct therapy is not routinely required unless there are significant systemic symptoms of fever or a particularly large effusion. It has been recommended in the past that corticosteroids should be used routinely in endobronchial TB, especially pediatric disease, but our recent experience has been that such therapy is not usually required. Although corticosteroid therapy is sometimes recommended in extensive pulmonary disease there are no controlled trials, in the modern drug era, to support such therapy. Where adrenal suppression is a concern supplemental corticosteroids are indicated. Fever, be it drug-related or from systemic disease, sometimes requires suppression with corticosteroids. The usual dose required is 40–60 mg of prednisone orally daily for 4–6 weeks depending on the system involved, with tapering doses of prednisone subsequent to this. Local corticosteroid therapy of BCG-related keloid reactions may also be useful. Anecdotal reports suggest immune suppression with corticosteroids predisposes to tuberculosis but retrospective studies on patients taking, in general, low doses of prednisone have not confirmed this risk. Corticosteroid interaction with the oral birth control pill and rifampin need also to be accounted for in prescribing these agents. Un traitement d'appoint utilisant des corticostéroïdes, associé à des médicaments antituberculeux, peut être indiqué dans le traitement de formes particulières de tuberculose. Des essais prospectifs contrôlés ont démontré un bénéfice dans des cas de méningite tuberculeuse et d'atteinte péricardique et pleurale. Bien que le bénéfice ait été démontré pour l'atteinte pleurale, un traitement d'appoint n'est pas indiqué de façon routinière à moins qu'il n'y ait des manifestations systémiques de fièvre ou un épanchement pleural particulièrement important. Dans le passé il a été recommandé d'utiliser des corticostéroïdes comme traitement de routine dans la tuberculose endobronchiqne, particulièrement en pratique pédiatrique, mais selon notre expérience récente un tel traitement n'est pas habituellement nécessaire. Bien que le traitement utilisant des corticostéroïdes soit parfois recommandé pour une atteinte pulmonaire étendue, il n'existe pas d'essai contrôlée qui prouve le bienfondé d'un tel traitement à l'ère des médications modernes. Lorsqu'il s'agit d'un déficit surrénal l'utilisation d'un apport de corticostéroïdes est indiquée. Une fièvre, liée aux drogues ou due à la maladie systémique, nécessite parfois un traitement snppressif par corticostéroïdes. La dose habituelle nécessaire est de 40 à 60 mg de prednisone par voie orale pendant 4 à 6 semaines, selon l'atteinte impliquée, suivie de doses dégressives de prednisone. Un traitement local par corticostéroïdes des réactions chéloïdes liées au BCG peut également être utile. Des communications personnelles suggèrent que l'immunosuppression induite par les corticostéroïdes prédispose à la tuberculose, mais des études rétrospectives de patients recevant pour la plupart des doses faibles de prednisone n'ont pas apporté confirmation de ce risque. L'interaction des corticostéroïdes avee la pilule contraceptive et avec la rifampicine devrait elle aussi être prise en compte lors de la prescription de ces agents. Se puede justificar una terapia adyuvante con corticoesteroides, conjuntamente con medicamentos antituberculosos, para el tratamiento de formas particulares de tuberculosis. Ensayos controlados prospectivos han demostrado un beneficio en casos de meningitis tuberculosa y de compromise pericárdico y pleural. Aunque se ha demostrado un beneficio en los casos de afección pleural, la terapia adyuvante no es necesaria en forma rutinaria, a menos que haya manifestaciones sistémicas de fiebre o derrame pleural particularmente importante. En el pasado se recomendaba el uso de corticoesteroides en la tuberculosis endobronquial, especialmente en los niños, pero nuestra experiencia reciente nos indica que este tratamiento habitualmente no es necesario. Aunque la corticoterapia se recomienda a veces en la enfermedad pulmonar extensiva, no existen ensayos controlados que apoyen la justificación de esta terapia en la era de los medicamentos antituberculosos modernos. En los casos de déficit suprarrenal, los corticoesteroides están indicados. La fiebre ligada a los medicamentos o a una enfermedad sistémica a veces puede requerir un tratamiento con corticoides. La dosis habitual requerida es de 40–60 mg de prednisona diarios por vía oral, durante 4 a 6 semanas, dependiendo del grado de compromiso, seguidas de dosis progresivamente menores de prednisona. El tratamiento local con corticoesteroides de la cicatriz queloidea de BCG puede ser igualmente útil. Comunicaciones ocasionales sugieren que la inmunosupresión inducida por los corticoesteroides predispone a la tuberculosis, pero el estudio retrospectivo de pacientes, que en general toman dosis bajas de prednisona, no confirman este riesgo. Cuando se prescriben los corticoesteroides también debe tenerse en cuenta la interactión de estos medicamentos con los contraceptivos orales y con la rifampicina.

Referência(s)