Social science, social relevance and the politics of educational development
1982; Elsevier BV; Volume: 1; Issue: 3 Linguagem: Inglês
10.1016/0738-0593(82)90041-4
ISSN1873-4871
Autores Tópico(s)Innovative Teaching Methodologies in Social Sciences
ResumoThis article raises some broad questions about the relevance of the current content and teaching methods in undergraduate social science generally. First, it examines critically the general teaching patterns which often stress the teaching of concepts, theory, history and techniques in isolation from current or historical problems. It next argues that our major methods of teaching—notably the lecture—contribute little to achieving the widely advertised pedagogic objectives of independent, critical thinking by students. Thirdly, it argues that we need to inject more relevance into the content of social science courses by shifting the emphasis towards a greater use of contemporary or historical problems or incidents as the starting point for the appreciation of theory and methods. It suggests that the teaching methods best suited to this are the various versions of the ‘case’ or ‘enquiry’ or ‘problem’ approach, which involve a more active participation by students in the process of learning, rather than their current passive role as consumers of teaching. Some illustrations of how this can be done are given. The article concludes by indicating some of the problems which are likely to be encountered in educational development of this kind. These problems are considered to be ‘political’ ones in that they involve a changed use and distribution of resources (of staff, students, times and buildings), which are likely to run counter to current systems of academic and institutional power, social organization, culture and ideology. Cette communication suscite de vastes questions quant aux rapports, d'une part entre la société qui nous entoure et, de l'autre, la substance et les méthodes pédagogiques actuelles dans le programme des étudiants qui préparent leur diplôme de sciences sociales. En premier lieu, elle examine et juge les cursus pédagogiques qui, souvent, font passer avant tout l'enseignement de concepts, de théories, de l'histoire et de techniques, les isolant de problèmes historiques ou d'actualité. Cette communication affirme ensuite que nos principales méthodes d'enseignement—conférences, en particulier—ne font guère progresser les intéressés vers les objectifs pédagogiques qu'on leur avait fait miroiter, réflexion et critique indépendantes en tête. Elle affirme enfin que la substance de l'enseignement des sciences sociales devrait refléter davantage son rôle dans la société, insistant plus particulièrement sur un usage accru de problèmes et d'incidents tant contemporains qu'historiques menant vers une compréhension progressive des théories et des méthodes; la meilleure manière d'appliquer ce procédé, nous est-il proposé, serait d'exploiter les diverses techniques traditionnelles, avec le vocabulaire qui leur est propre: ‘cas’, ‘enquête’, ‘vérité contestable’; ainsi obtiendrait-on des étudiants une participation plus active que ne leur permet actuellement leur rôle de consommateurs passifs d'un savoir qu'on leur ingurgite. Nous proposons quelques exemples quant à la manière d'y parvenir. Cette communication mentionne, pour conclure, quelques-uns des problémes susceptibles de se présenter au cours d'une tentative de ce genre. Ces difficultés sont considérées comme ‘politiques’ du fait qu'elles impliquent un remaniement de l'usage et de la répartition des ‘ressources’ (personnel, étudiants, horaires, locaux), lequel est susceptible d'aller à l'encontre des systèmes actuellement en vigueur, intéressant le pouvoir académique et institutionnel, l'organisation, la culture et l'idéologie sociales. Este artículo suscita algunas cuestiones generales sobre la pertinencia de los contenidos actuales y los métodos pedagógicos usados de forma general en la enseñanza de las ciencias sociales a nivel de estudiantes de licenciatura. En primer lugar, examina de forma crítica los modelos generales de enseñanza que, a menudo, favorecen las enseñanzas de conceptos, teoría, historia y técnicas de forma aislada, sin conexión con problemas actuales o históricos. A continuación, sostiene que neustros métodos de enseñanza más importantes—en especial la lección magistral—contribuyen poco a alcanzar los objectivos pedagógicos, anunciados a bombo y platillo, de desarrollar el pensamiento crítico e independiente de los estudiantes. En tercer lugar, matiene que necesitamos inyectar mayor pertinencia en el contenido de los cursos de ciencias sociales por medio de un cambio de énfasis que permita un mayor uso de problemas o incidentes contemporáneos o históricos; estos deberían servir de punto de partida para la apreciación de la teoría y los métodos. Se sugiere que los métodos pedagógicos que mejor se adaptan a este fin son las variadas versiones de los enfoques de “estudio de casos”, “encuestas”, o “problemas”, los cuales presuponen que los estudiantes han de participar más activamente en el proceso de aprendizaje, en oposición a la actual situación pasiva de consumidores de enseñanzas. Se ofrecen algunas ilustraciones de como se puede alcanzar este objetivo. El artículo concluye indicando algunos de los problemas que pueden presentarse en el desarrollo de estos métodos. Estos problemas se consideran como “políticos”, en el sentido de que suponen un nuevo uso y distribución de recursos (de docentes, discentes, horarios y edificios.) Este cambio probablemente va a contracorriente de los actuales sistemas de poder académico e institucional, de organización social, cultura e ideología.
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