Portal de Periódicos da CAPES

The formation of hollow sea-salt particles from the evaporation of drops of seawater

1988; Elsevier BV; Volume: 22; Issue: 1 Linguagem: Francês

10.1016/0169-8095(88)90009-9

1873-2895

Roger Cheng, Duncan C. Blanchard, Ramon J. Cipriano,

Surface Modification and Superhydrophobicity

Some non-volatile materials dissolved in water drops will, upon evaporation of the water, produce a hollow shell of the material. Though known for years in the chemical engineering literature, this fact was not appreciated by those working with the marine sea-salt aerosol. Our laboratory experiments show that a majority of seawater drops in free fall in air with a relative humidity less than about 60% evaporate, become salt-saturated, and change phase to produce hollow sea-salt particles. Some hollow salt particles have been found in marine air, though further investigation is required to show the extent of this phenomenon. Expressions have been derived from which both the size of the original drop of seawater and its salt supersaturation at the time of phase change can be calculated from the inner and outer radii of the salt shell. If hollow particles are common in the marine aerosol, then instruments that measure particle size cannot be used to obtain particle mass. Certaines substances non volatiles dissoutes dans les gouttes d'eau produisent, à l'évaporation de l'eau, des coquilles creuses. Ce processus est bien connu en génie chimique, et pourtant il n'en est pas tenu compte dans les travaux sur les aérosols salins océaniques. Nos expériences de laboratoire montrent que lorsque des gouttes du de mer tombent en chute libre dans de l'air à moins de 60% d'humidité relative, la plupart d'entre elles arrivent à saturation et changent de phase pour produire des particules salines creuses. On a d'ailleurs trouvé des particules creuses de sel dans de l'air marin, mais d'autres recherches sont nécessaires pour connaître l'étendue du phénomène. On présente des relations qui donnent la dimension de la goutte originale d'eau de mer, ainsi que la sursaturation au changement de phase, à partir des rayons intérieurs et extérieurs de la coquille de sel. S'il est prouvé que les particules creuses sont courantes dans l'aérosol marin, on ne pourra pas utiliser les appareils qui mesurent les dimensions des particules pour évaluer la masse de l'aérosol.