The value of BCG vaccination
1965; Churchill Livingstone; Volume: 46; Issue: 1 Linguagem: Francês
10.1016/s0041-3879(65)80090-3
ISSN1878-6006
Autores Tópico(s)Immunodeficiency and Autoimmune Disorders
ResumoThe usefulness of BCG vaccination in reducing the incidence of tuberculosis in a community depends not only on the extent to which the attack rate in converters is reduced, but also on such epidemiological features of the community as the percentage positive, the attack rate in them, and the conversion rate for tuberculin negatives. The published results of controlled trials of BCG are considered: three show a reduction in tuberculosis of about 80% in vaccinated negatives compared with unvaccinated negative controls. In one trial the reduction is about 60% but, in two parts of another trial, the reduction is only a little over 30%. Possible reasons for these differences are discussed. Assuming that BCG does have a protective effect of about 75%, the circumstances in which it is most likely to be of value are considered. The annual conversion rate to be expected in negative reactors left unvaccinated is the most important measure in this decision—if more than 5–10% of negatives are likely to be infected within ten years, BCG is well worth while. The percentage tuberculin positive in the community is of far less importance, at least in the range 0–25% positive. As tuberculosis comes under control, a position is ultimately reached where the tuberculin conversion rate, and therefore the tuberculosis attack rate in tuberculin negatives, is so low that BCG is no longer justified. L'utilité de la vaccination par le BCG pour réduire l'incidence de la tuberculose dans une communauté, dépend non seulement de l'importance de la réduction du taux d'apparition de la maladie chez les sujets virant leurs réactions tuberculiniques, mais aussi des caractéristiques épidémiologiques de cette communauté, telles que le pourcentage de sujets positifs, le taux de fréquence des cas parmi eux, et le taux de virages chez les sujets tuberculino-négatifs. L'auteur éxamine les résultats publiés sur des essais controlés de BCG: 3 montrent une réduction de la tuberculose d'environ 80% parmi les sujets négatifs, mais vaccinés, comparés aux sujets négatifs non vaccinés servant de contrôle. Dans une enquête la réduction est á peu près de 60% mais, dans les deux parties d'une autre enquête, la réduction n'est seulement que d'un peu plus de 30%. L'auteur discute les raisons possibles de ces différences. En supposant que le BCG ait un effet protecteur d'environ 75%, les circonstances au cours desquelles il est le plus susceptible d'être efficace, sont examinées. Le, taux annuel de virges attendu chez les sujets tuberculino-négatifs laissés sans vaccination, est le chiffre le plus important pour une telle décision si plus de 5–10% des sujets négatifs sont susceptibles d'être infectés dans les dix années suivantes, le BCG est bien utile. Le pourcentage de sujets tuberculino-positifs dans la population est de bien moindre importance, au moins lorsqu'il se situe entre 0 et 25%. A mesure que la tuberculose vient sous controle, on atteint finalement un point où le taux d'apparition de la maladie chez les sujets tuberculino-négatifs, est si bas que le BCG n'est plus justifié. La utilidad de la vacunación con BCG para reducir la incidencia de la tuberculosis en una comunidad depende no solamente de la extension en que la tasa de enfermos se reduce, sino tambien en aquellos hechos epidemiológicos de la comunidad tales como el porcentaje de positivos y la tasa de conversión de aquellos que son tuberculino negativos. Se consideran los resultados publicados de ensayos controlados con BCG: tres de ellos muestran una reducción de la tuberculosis de alrededor del 80% en vacunados negativos comparados con un grupo control de negativos no vacunados. En otro ensayo la reducción oscila en el 60%, pero en dos grupos de otro ensayo la reducción es sólo un poco superior al 30%. Se discuten las posibles razones de estas differencias. Suponiendo que la BCG tenga un efecto protector de alrededor del 75%, se consideran las circunstancias en las que probablemente tenga más valor. La tasa de conversión anual esperada en los rectores negativos que no se vacunaron es el hecho más importante a tener en cuenta, ya que si más del 5–10% de los negativos pueden infectarse en un lapso de 10 años la BCG está justificada. El porcentaje de tuberculino positivos en la comunidad es mucho menos importante, sobre todo cuando varía entre o y 25%. Como cada vez se controla mejor la tuberculosis, se está alcanzando una posición en la que la tasa de conversión tuberculínica y por lo tanto la tasa de enfermos de tuberculosis en los tubercalino negativos es tan baja que no justifica más la vacunación con BCG.
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