The impact of the peace treaty on psychological well-being: A follow-up study of Palestinian children
1995; Elsevier BV; Volume: 19; Issue: 10 Linguagem: Francês
10.1016/0145-2134(95)00080-r
ISSN1873-7757
AutoresSamir Qouta, Raija‐Leena Punamäki, Eyad El Sarraj,
Tópico(s)Early Childhood Education and Development
ResumoThis research examined the impact of the Israeli-Palestinian peace treaty and Palestinian children's perception of it on their self-esteem and neuroticism. We also studied the relative importance of earlier exposure to traumatic experiences and psychosocial resources indicated by the children's creativity, intelligence and political activity in influencing their psychological well-being after the peace treaty. The sample used was a follow-up group of 64 Palestinian children of 11–12 years of age, living in the Gaza Strip. The results showed that the level of neuroticism was significantly lower after the peace treaty than before. The children's earlier exposure to traumatic experiences was still significantly related to high neuroticism and low self-esteem after the peace treaty. Acceptance of the treaty and participating in the subsequent festivities mitigated the negative impact of the traumatic experiences on their well-being. Increased neuroticism and decreased self-esteem were found only among children who refused to accept the peace treaty and did not participate in the festivities. Creativity and Intifada activity promoted their post-peace treaty well-being, in terms of psychosocial resources. The more creative the children were, the more their neurotic symptoms decreased because of the treaty and the higher self-esteem they had after it. The more active the children were during the Intifada, the more their self-esteem increased because of the treaty. Cette recherche a enquêté sur l'impact qu'ont eu le traité de paix entre l'Israêl et la Palestine ainsi que la façon dont des enfants l'ont perçu, sur l'estime de soi des enfants et leur degré de névrose. On a voulu savoir comment, suite au traité, leur bien-être psychologique aurait été influencé par des traumatismes antérieurs et par leurs ressources psychosociales. Leur bien-être a été évalué en mesurant leur créativité, leur intelligence et leur activité politique. L'échantillon comprenait 64 enfants palestiniens âgés de 11 et 12 ans, vivant dans la région de Gaza. Les résultats démontrent que le degré de névrose était beaucoup plus bas suite au traité. Toutefois, même après le traité, les traumatismes antérieurs demeurent un facteur important pour expliquer le degré élevé de névrose et l'estime de soi inférieur des enfants. Cependant, pour les enfants qui avaient accueilli le traité favorablement et participé aux célébrations, les effets des traumatismes se sont avérés moins nocifs. C'est exclusivement chez les enfants qui n'ont pas accepté le traité et qui n'ont pas participé aux célébrations qu'on retrouve un niveau plus élevé de névrose et une baisse de l'estime de soi. L'occasion de participer à des activités créatrices et de s'engager dans les activités de l'intifada ont promu le bien-être des enfants après le traité, par rapport à leurs ressources psychosociales. Plus les enfants démontraient un esprit créateur, plus les symptômes de névrose diminuaient à cause du traité et de l'amélioration de l'estime de soi qui s'ensuivit. Plus les enfants avaient pris une part active dans l'intifada, plus le traité au eu une influence favorable sur leur estime de soi. Esta investigación examinó el impacto del Tratado de Paz Palestino-Israelita y la percepción que de él tenían los niños palestinos sobre su auto-estima y neuroticismo. También se estudió la relativa importancia de una exposición temprana a experiencias traumáticas y los recursos psicosociales que indicaban la creatividad, inteligencia y actividad politica de los niños afectando su bienestar psicológico después del tratado de paz. la muestra utilizada era de un grupo de seguimiento con 64 niños palestinos de 11–12 años de edad que viven en el Estrecho de Gaza. Los resultados demostraron que el nivel de neuroticismo estaba significativamente más bajo después que antes del tratado de paz. La aceptación del tratado y el participar en las festividades subsiguientes mitigaron el impacto negativo de las experiencias traumáticas en su bienestar. Se encontró un aumento de neuroticismo y disminución de la autoestima solo entre los niños que rehusaron aceptar el tratado de paz y no participaron en las festividades. La creatividad y la actividad de la Intifada promovieron su bienestar post-tratado en relación a sus recursos psicosociales. Mientras más creativos fueran los niños más disminuían sus síntomas neuróticos por el tratado y aumentaba la autoestima que tenían después del tratado. A mayor actividad de los niños durante la Intifada, mayor autoestima por el tratado.
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