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The liH2+ quasimolecule. a comparison between the configuration interaction and the OEDM approaches

1985; EDP Sciences; Volume: 46; Issue: 5 Linguagem: Francês

10.1051/jphys

2777-3396

L. F. Errea, L. Méndez, Antoni Riéra, Manuel Yáñez, J. Hanssen, C. Harel, A. Salin,

Molecular Spectroscopy and Structure

2014 Nous présentons dans cet article une comparaison directe entre la méthode OEDM (One-Electron Diatomic Molecule) et une approche moléculaire classique, basée sur la méthode d'interaction de configuration (CI) utilisant une base construite à partir de produits anti-symétrisés d'orbitales gaussiennes (GTO), pour le traitement d'une collision atomique à deux électrons.La quasi-molécule LiH2+ a été choisie comme exemple.Nous étudions les avantages de l'emploi d'un hamiltonien écranté pour définir les orbitales OEDM.Le diagramme de corrélation énergétique pour les sous-systèmes singulet et triplet est discuté ainsi que le caractère des états moléculaires intervenant dans la collision Li2+(1s) + H(1s).Nous montrons que la comparaison entre les deux méthodes permet d'interpréter le comportement des couplages obtenus dans la méthode d'interaction de confi- guration et d'attribuer sans équivoque les symboles moléculaires au diagramme de corrélation.Bien que l'image intuitive « d'un électron actif» soit utile pour l'étude du système collisionnel considéré, l'interaction entre les orbitales internes et externes joue un rôle non négligeable pour déterminer tant les couplages que le diagramme d'énergie.