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Reduction electrochimique dans divers milieux des composes d'insertion du trichlorure de fer dans le pyrographite

1979; Elsevier BV; Volume: 24; Issue: 6 Linguagem: Francês

10.1016/0013-4686(79)87052-8

1873-3859

A. Métrot, R. Vangélisti, P. Willmann, A. Hérold,

Corrosion Behavior and Inhibition

La réduction des composés d'insertion graphite—FeCl3 est réputée conduire à un mélange des phases graphite—FeCl2, graphite, fer α et composé graphite-fer. La plupart des études radiocristallographique de ce dernier composé sont in complètes. On doit à Touzain la description la plus précise, avec une maille quadratique (a ⋍ 2,82 Å, c = 5,60 Å) pour les atomes de fer inséré. L'utilisation d'échantillons de pyrographite permettant d'isoler les réflexions (00l) et (hk0), associé à l'emploi de divers milieux pour la réduction électrochimique, devaient permettre une caractérisation plus sûre des produits de réduction. L'étude par voltammétrie cyclique et la réduction intentiostatique, couplés à des mesures delatométriques, ont montré la possibilité de réduction en fer métallique dans des milieux LiClO4/CP ou basique aqueux (KOH ou NaOh). Des études Structurales (rayons X, microscopie électronique par transmission ou balayage, microdiffraction électronique) n'ont pas confirmé l'existence du composé graphite-fer, tout au moins dans le cas des pyrographites. The reduction of iron trichloride intercalated graphite is claimed to lead to a phases mixture of graphite—iron dichloride, graphite, iron and iron intercalated graphite. Most crystallographic studies of this last compound are incomplete; the most precise description was given by Touzain, with an intercalated iron quadratic cell (a ⋍ 2,82 Å, c = 5,60 Å). The use of a pyrographite sample allowing isolation of the 00l and hk0 X-ray reflections and of electrochemical reduction in various media should lead to a more reliable characterization of the reduction products. Cyclic voltammetry and intensiostatic reduction, associated with dilatometric measurements, showed the possibility of reduction to Fe0, using LiClO4/PC or basic aqueous solutions (KOH or NaOH). Structural studies, involving X-ray, electron microscopy, microdiffraction and sem, did not confirm the existence of the presumed graphite—iron compound, at least in the case of pyrographite samples.