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Zur Reform‐Angelegenheit

1850; Wiley; Volume: 113; Issue: 2 Linguagem: Francês

10.1002/ardp.18501130245

1521-4184

Bley,

Stockholm, ce 15.Fevrier.Monsieur !Croyez!que j e suis vivement touchbe et toute reconnaissance de I'interbt et la bonli., que Vous me tkmoignez, ainsi que de L'attention aimable dont Vous m'honoree en m'envoyant une Copie de Votre Discours, accompagnbe de Votre bonne et bienveillante lettre.Celui, que nous pleurons tous, flit pour Vous Monsieur et pour Vos Collegues I'Ami le plus vraie, le plus sinckre, pour moi, 1'Ange gordien, de tout mon bonheur ici bas! En me l'enlbvent, Dieu ma laissb I'espbrance de le rejoindre un jour la oh on ne connait ni larmes, ni soupirs et seul avec mes pleurs c'est dans cette pens& que j e fuisse tout mou courage.Si le temps usant de ses droits saura me rendre ma douceur supportable, jamais il m'effacera de mou coeur le souvenir de cclui que j'ai tant cheri!fa memoire de ses vertus, de ses bienfaits, du bonheur sans nuRges dont j e jouissais aupres de cet object de toutes mes affections, sern ce seul rayon de joie, qui glissera desormais suc mon passage triste et solitaire ii travers les ennuis de ce monde!Vous concevez donc Nonsieur, combien m'est cher tout ce qui me rapelle des temps, qui m'ont fuie et des jours de feli-cit8, qui ne renaitront jamais pour moi, Veuillez donc recevoir pour VOUS meme Monsieur et pour 81.B1.Vos Collkgues l'expression de toute ma reconnaissance, si j'ose le dire de mon amiti6, et daignez croire a I'assurance de mes sentiments les plus distingubs.