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A two-year follow-up of patients with quiescent pulmonary tuberculosis following a year of chemotherapy with an intermittent (twice-weekly) regimen of isoniazid plus streptomycin or a daily regimen of isoniazid plus pas

1966; Churchill Livingstone; Volume: 47; Issue: 2 Linguagem: Francês

10.1016/s0041-3879(66)80034-x

1878-6006

O. Nazareth, S. Devadatta, C. Evans, Wallace Fox, B. Janardhanam, N.K. Menon, S. Radhakrishna, C. V. Ramakrishnan, H Stott, Srikanth Tripathy, S. Velu,

Infectious Diseases and Tuberculosis

In the main analysis of a year's study of twice-weekly high dosage isoniazid plus streptomycin (SHTW) in comparison with a standard daily regimen of isoniazid plus PAS (PH) under domiciliary conditions, 66 SHTW and 53 PH patients had attained bacteriologically quiescent disease at one year. All the patients have now been followed-up over a two-year period. Of these, 66 SHTW and 52 PH patients had been allocated at random to treatment the second year with isoniazid alone or with placebo. No patient was prescribed antituberculosis drugs for the third year. The condition of the patients in the two series was broadly similar, both at the time of their original admission to treatment and also at the start of the period of follow-up. There were five deaths (four SHTW, one PH) in the follow-up period, all in the second year and all from non-tuberculous causes; all five patients produced only negative cultures in the second year and for at least six months immediately before death. The radiographic progress was similar for the two series in the second and third years, the majority of patients in both series showing little change. The patients were under intensive bacteriological investigation, an average of 14 cultures being examined per patient in the second year and nine in the third year. A bacteriological relapse occurred in five (8%) SHTW and six (12%) PH patients. In one and two patients respectively this was associated with a serious radiographic deterioration. An isolated positive culture was produced by 17% of the SHTW and 27% of the PH patients. Four of the SHTW patients had a relapse with streptomycin- and isoniazid-sensitive cultures and four of the PH patients with isoniazid-sensitive cultures. It is concluded that bacteriological quiescence following a year of twice-weekly isoniazid plus streptomycin is at least as stable, over a two-year period of follow-up, as that attained following a year of a standard daily oral regimen of isoniazid plus PAS. Dans l'analyse principale d'une étude portant sur un an de chimiothérapie associant 2 fois par semaine de l'isoniazide (forte dose) à de la streptomycine (SHTW), comparée à un régime standard journalier d'isoniazide et de PAS (PH), en traitement ambulatoire, 66 malades SHTW et 53 malades PH étaient parvenus à un stade bacteriologiquement quiescent de leur tuberculose au bout d'un an. Tous les malades ont ensuite été suivis pendant 2 ans. On a distribué au hazard un traitement pour la deuxième année fait d'isoniazide seul ou de placebo à 66 des malades SHTW et 52 des malades PH. Aucun n'a reçu de drogues antibacillaires au cours de lá troisième année. Les conditions des malades dans les deux séries étaient à peu près semblables, aussi bien au moment de leun admission dans un groupe thérapeutique que lors du début de la période d'observation. Il y a eu 5 morts (4 SHTW, 1 PH) au cours de la période d'observation. Toutes sont survenues au cours de la deuxième année, et elles ont été toutes de cause non tuberculeuse. Chacun de ces cinq malades n'a présenté que des cultures négatives pendant la deuxième année, et durant les six mois au moins précédant la mort. Les progrès radiologiques ont été identiques dans les deux séries au cours des deuxième et troisième années, la plupart des malades ne montrant que de minimes changements dans les deux séries. Les recherches bactériologiques, chez les malades, ont été intensives. En moyenne, on a pratiqué 14 cultures par malades au cours de la deuxième année, et 9 au cours de la troisième année. On a observé une rechute bactériologique chez 5 (8%) SHTW et 6 (12%) malades PH. Pour 1 et 2 de ces malades respectivement, elle était associée à une évolution radiologique sérieuse. 17% des malades SHTW et 27% des malades PH ont eu une culture positive isolée. Quatre malades de la série SHTW ont eu une rechute à bacilles sensibles à l'isoniazide et à la streptomycine, et 4 malades PH ont eu une rechute à bacilles sensibles à l'isoniazide. On peut conclure que la quiescence bactériologique au décours d'une année de traitement bi-hebdomadaire par isoniazide et streptomycine est au moins aussi stable, au cours des deux-années de surveillance consécutives, que celle obtenue après un an d'un régime standard quotidien d'isoniazide et PAS par voie orale. Se estudiaron durante l año un grupo de 66 enfermos tratados con isoniazida en dosis altas 2 veces semanales y estreptomicina (SHTW) y otro grupo de 53 enfermos con isoniazida en dosis corrientes y PAS (PH) tratados en su domicilio.; ambos grupos alcanzaron el estado de quiescencia al año. Todos los enfermos fueron seguidos durante 2 años. De ellos, 66 SHTW y 52 PH fueron tratados al azar en el segundo año con isoniazida o con placebos. En el tercer año ningun enfermo recibió drogas antituberculosas. En ambos grupos las condiciones de los pacientes eran análogas, tanto al iniciar el tratamiento como en el periodo posterior. Hubo 5 muertes (4 SHTW y 1 PH) en el periodo de control, en el segundo año, y por causas no tuberculosas; todos tenían cultivos negativos al 2o año y por lo menos 6 meses antes de la muerte. La evolución radiológica fué similar para las 2 series en el 2o y 3o año; mostrando en general pocos cambios. Se efectuó un control bacteriológico intenso, con un promedio de 14 cultivos en el 2o año y 9 en el 3o año. Hubo una recaida bacteriológica en 5 enfermos SHTW (8%) y en 6 PH (12%). En 1 y en 2 enfermos respectivamente hubo una marcada peoría radiológica. Se halló un cultivo positivo aislado en el 17% de los enfermos SHTW y en el 27% de PH. 4 del grupo SHTW tuvieron recaidas con cultivos sensibles a estreptomicina e isoniazida, y 4 del grupo PH con bacilos sensibles a la isoniazida. Se concluye que la quiescincia bacteriológica que sigue a un año de isoniacida más estreptomicina dos veces por semana es tan estable, en un periodo de supervisión de dos años, como la que se obtiene siguiendo a un año de régmen standard diario oral de isoniacida más PAS.