Observations sur la Vie de l’ascète Isaïe et sur les Vies de Pierre l’Ibérien et de Théodore d’Antinoé par Zacharie le Scolastique.
1900; De Gruyter; Volume: 9; Issue: 2 Linguagem: Francês
10.1515/byzs.1900.9.2.464
ISSN1868-9027
Autores Tópico(s)Archaeology and Historical Studies
ResumoObs ervations s ur la Vie de l'as cète Isaïe et sur les Vies de P ierre l'Ibérien et de Théodore d'Antinoé par Zacharie le Scolastique/)Dans sa biographie de Sévère d'Antioche, qu'il composa entre 512 et 518 à Constantinople, Zacharie le Scolastique, racontant un événement qui se passa à Béryte à l'époque où il y étudiait le droit, écrit ce qui suit: «Et pendant que notre vie allait de ce traiu, Evagrius, ce grand vertueux, ne cessait d'amener b eaucoup de personnes à l'amour de la philosophie divine et à la vie monastique, et (ne cessait) de rappeler l'ascétisme de ceux qui cultivaient la philosophie en Orient.Or, j'étais occupé à décrire les vertus (les actes merveilleux?àçi.0revfiaTu?) de ces hommes divins, de Pierre, dis-je, l'Ibérien, et (fisdie, le grand ascète égyptien -car ces deux hommes, pendant leur séjour en Palestiue, avaient acquis une grande réputation auprès de tous les Chrétiens -, lorsqu'il arriva à Anastase d'Édesse, que j'ai mentionné plus haut, une histoire du même genre (que celles que je décrivais, histoire) qui mérite d'être admirée et d'être racontée.»^)MM.R. Raab e^), R. Duval*), G. Krûger'^) et E. W. Brooks") 1) On identifie à tort Zacharie le Scolastique avec Zacharie le Rhéteur.Ces deux Zacharie doivent être distingués l'un de l'autre, ainsi que nous le démontrerons prochainement dans la Bévue de l'Orient chrétien.Disons dès maintenant qu'il faut réserver le surnom «le Rhéteur» au Zacharie qui a écrit l'Histoire ecclésiastique.2) Zacharias Shetor (lire: Zacharie le Scolastique), Bas Leben des Severus von Antiochien in syrischer Ûbersetzung, herausg.von J. Spanuth, Goettingue 1893, in4", p. 22, 1. 6-11.-La fin de ce passage est assez difficile.Nous sup posons que les mots p»oc^. .JU. rendent nçondexai dans le sens du simple Ttàaxo).Peutêtre pourraiton traduire )ow3(ii> par «en premier lieu».La seconde histoire serait alors celle à'Élisée.Il n'est guère possible d'interpréter ici P jûc^ par «auparavant».Mais, si )o,ocii.avait même ce sens, les conclusions de notre travail n'en resteraient pas moins debout.3)
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