A detailed analysis of the auditory evoked response wave form in children during REM and stage 2 sleep
1973; Elsevier BV; Volume: 35; Issue: 3 Linguagem: Francês
10.1016/0013-4694(73)90235-6
ISSN1872-6380
AutoresPeter E. Tanguay, John C.M Lee, Edward M. Ornitz,
Tópico(s)Advanced Adaptive Filtering Techniques
ResumoThe auditory evoked response (AER) to click stimuli was recorded between vertex and occiput in fourteen children aged 27–60 months. In order to enhance individual details in the wave form of the AER, a single AER was summed throughout the first 3–5 REM periods of the night, and a second AER was summed throughout all stage 2 sleep which occurred within 1 h of these REM periods. The AER was found to be composed of a complex series of positive and negative potentials whose wave form was relatively similar between subjects. The wave form was found to be almost invariably composed of two vertex-negative components peaking at 33 msec and 229–283 msec respectively, separated by a large positive component peaking at 104–129 msec. A second negative component peaking at 78–88 msec was almost invariably found during REM sleep, but was present in only 50% of subjects during stage 2 sleep. It was suggested that if a sufficiently large number of individual responses were summed together, an AER template could be produced which would be useful in identifying individual components in the AER to 100 stimuli or less. The complexity of the AER wave form and its uniformity between subjects indicate that the AER may prove to be a useful experimental measure of CNS function in 2–5-year-old subjects. La réponse évoqée auditive (REA) à des clics, a été enregistrée entre le vertex et l'occiput chez 14 enfants âgés de 27 à 60 mois. Afin de valoriser les détails particuliers dans l'ensemble de la réponse évoquée auditive, une seule REA a été sommée au cours des 3–5 premières périodes PMO de la nuit, et une seconde réponse REA a été sommée au cours de tous les stades 2 du sommeil qui sont survenus dans l'heure de ces périodes PMO. La REA s'est révélée être composée d'une série complexe de potentiels positifs et négatifs dont la morphologie est relativement similaire d'un sujet à l'autre. Cette morphologie s'est avérée être presque invariablement composée de deux composantes négatives au vertex dont le pic est situé à 33 msec et à 229–283 msec respectivement, séparées par une grande composante positive dont le pic se situe à 104–129 msec. Une seconde composante négative dont le maximum est à 78–88 msec presque invariablement observée au cours du sommeil PMO, mais n'est présente que chez 50% des sujets au cours du stade 2 du sommeil. Les auteurs suggèrent que si un nombre suffisamment grand de réponses individuelles était sommé on pourrait réaliser un modèle de REA qui pourrait être utile pour l'identification des composantes individuelles du REA à 100 stimuli ou moins. La complexité de la forme de la REA et son uniformité entre les sujets indique que la REA constitue une mesure expérimentale utile de la fonction du système nerveux central chez des sujets âgés de 2 à 5 ans.
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