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Relation of forward and backward digit repetition to neurological impairment in children with learning disabilities

1974; Elsevier BV; Volume: 12; Issue: 1 Linguagem: Alemão

10.1016/0028-3932(74)90032-3

1873-3514

Rita G. Rudel, Martha B. Denckla,

Hemispheric Asymmetry in Neuroscience

The WISC digit span scaled scores of 297 children with learning disabilities fell below any of their overall I.Q. measures. More than 30 per cent of these Ss also had a greater than normal difference of 3 or more digits between their forward and backward spans. When 292 Ss for whom neurological data were available were categorized according to their signs (none, predominantly left, right, or bilateral), Ss with right-sided signs (presumed left hemisphere damage) were worse on digits forward, while Ss with left-sided signs (presumed right hemisphere damage) were worse on digits backward. Most Ss who could not repeat digits backward at all had bilateral impairment. Analysis of the data by age, suggests that the large gap between forward and backward digits, characteristic of the group with left-sided signs, tends to increase with age since their ability to repeat digits forward improves without concommitant improvement in their ability to repeat them backward. Conversely, the backward span of the group with right-sided signs tends to "catch up" and even equal their limited forward repetition. The data appear to support a left-hemisphere-dependent auditory verbal component of the digit span task reflected in digits forward and a right-hemisphere-dependent, visuo-spatial component reflected in digits backward. The distribution of verbal and performance WISC scores of these Ss, as well as their forward and backward digit spans, suggest that patterns of adult hemispheric asymmetry are similar in children with restricted early brain damage. Chez 297 enfants avec trouble de l'apprentissage, les scores de répétition des chiffres du WISC étaient inférieurs à leurs mesures de Q.I. général. Plus de 30% de ces sujets avaient une différence plus grande que la normale de trois chiffres, ou plus, entre leur répétition dans l'ordre normal et leur répétition à rebours. Chez 292 sujets, des données neurologiques permettaient un classement en catégories selon la symptomatologie (absence, de façon prédominante gauche, droite ou bilatérale). Les sujets avec des signes droits, c'est-à-dire avec une atteinte hémisphérique gauche présumée, étaient inférieurs, dans la répétition des chiffres dans l'ordre normal tandis que les sujets avec des signes à gauche, c'est-à-dire avec une atteinte hémisphérique droite présumée, étaient inférieurs dans la répétition à rebours des chiffres. La plupart des sujets qui ne pouvaient pas du tout répéter les chiffres à rebours, présentaient une atteinte bilatérale. D'aprés l'analyse des données selon l'âge, il semble que le large écart entre répétition de chiffres dans l'ordre normal et répétition à rebours, écart caractéristique du groupe avec signes situés à gauche, tend à augmenter avec l'âge puisque leur capacité de répéter les chiffres dans l'ordre normal s'améliore sans qu'il y ait une amélioration concomitante de leur capacité à les répéter dans l'ordre inverse. En revanche, l'empan pour les chiffres répétés à rebours du groupe avec signes situés à droite tend à rattraper et même à égaler leur empan limité de répétition dans l'ordre normal. Ces données semblent être en faveur d'une composante auditivo-verbale, dépendant de l'hémisphére gauche, dans l'épreuve de répétition de chiffres dans l'ordre normal et d'une composante visuo-spatiale, dépendant de l'hemisphère droit, intervenant dans la répétition à rebours des chiffres. D'après la distribution des scores verbaux et des performances (WISC) de ces sujets, de même que d'après leur empan de répétition des chiffres dans les deux ordres, on suggère que les types d'asymétrie hémisphérique chez l'adulte existent chez l'enfant présentant des lésions cérébrales précoces focalisées. Die mit dem HAWIK-Zahlennachsprechtest festgestellten Leistungen von 297 Kindern mit Lernschwierigkeiten zeigten Werte unter den Gesamt-IQ-Werten. Mehr als 30% dieser Versuchspersonen wiesen auch eine gröβere. Differenz von drei oder mehr Zahlen zwischen der Zahlenmenge vorwärts bzw.rückwärts auf als normal. Bei der Kategorisierung von 292 Versuchspersonen, von denen neurologische Daten verfügbar waren nach ihrer Symptomatik (keine, vorwiegend links, rechts oder bilateral) zeigte sich, daβ die Personen mit rechtsseitger Symptomatik (angenommene linkshemisphärische Schädigung) schlechter waren beim Zahlennachsprechen vorwärts, während diejenigen mit linksseitiger Symptomatik (angenommene rechtshemisphärische Schädigung) schlechter beim Zahlennachsprechen rückwärts waren. Die meisten Probanden, die beim Zahlennachsprechen rückwärts gänzlich versagten, hatten bilaterale Schädigungen. Die Analyse der Befunde nach Altersstufen gibt Anlaβ zu der Annahme, daβ der groβe Abstand der Leistungen beim Vorwärts-bzw. Rückwärtsnachsprechen von Zahlen, wie sie charakteristisch ist für die Gruppe mit linksseitigen Zeichen, die Tendenz zeigt, mit zunehmendem Alter zu wachsen, da die Fähigkeit, Zahlen vorwärts nachzusprechen zunimmt ohne gleichzeitige Verbesserung im Zahlennachsprechen rückwärts. Umgekehrt neigt die Gruppe mit rechtsseitigen Zeichen dazu, aufzuholen und ihre bis dahin eingeschränkten Leistungen im Vorwärtsnachsprechen von Zahlen auszugleichen. Diese Daten scheinen eine linkshemisphärische Abhängigkeit der auditorischen verbalen Komponente für die Zahlennachsprechaufgabe, wie sie sich im Nachsprechen der Zahlen vorwärts spiegelt, zu stützen, und eine rechtshemisphärische Abhängigkeit, die optischräumliche Komponente widerspiegelnd, beim Zahlennachsprechen rückwärts. Die Verteilung der Leistungen im verbalen bzw. Handlungsteil des Hawik bei diesen Probanden sowie ihre Leistungen beim Zahlennachsprechen vorwärts bzw. rückwärts lassen darauf schlieβen, daβ die Muster der Hemisphärenasymmetrie Erwachsener ähnlich denen bei Kindern mit frühen umschriebenen Hirnschäden sind.