Loudness and Telephone Current
1930; Taylor & Francis; Volume: 3; Issue: 2 Linguagem: Francês
10.1080/00221309.1930.9918206
ISSN1940-0888
AutoresLewis Fry Richardson, J. S. Ross,
Tópico(s)Vehicle Noise and Vibration Control
ResumoClick to increase image sizeClick to decrease image size Résumé On a fait cette étude dans le but de constater (1) si l'on peut faire des estimations numériques de l'intensité, et, cela étant possible, (2) le rapport fonctionnel entre l'intensité moyenne estimée et le courant téléphonique, (3) la constance des estimations successives d'un individu, et (4) la différence entre les individus dans leurs estimations. L'expérimentateur, dans une chambre, a réglé un courant produisant une note musicale d'une fréquence constante et d'une intensité variable, a signalé son approche au moyen de lumières, et a mesuré sa force; pendant que l'observateur, dans une autre chambre, a écouté un appareil téléphonique, et on lui a demandé d'ecrire, si possible, des estimations numériques de l'intensité des sons du test comme multiples de l'intensité d'un son étalon, sonné avant et après chaque test. Le courant téléphonique a subi des variations entre 10.000 et 1. Les réponses aux questions citées en haut ont été celles-ci: 1. Tous les onze observateurs ont réussi à donner des numéros aux intensités.2. Pour les sons qui n'ont pas été trop faibles(intensité) = constant × (ou courant ou voltage)n Pour les sons faibles, l'intensité a été généralement moindre que celle trouvée par extrapolation de cette formule appliquée aux sons de grande intensité.3. La constance des estimations individuelles, mesurée par “l'écart moyen” Δ log10 (intensité) de la courbe individuelle moyenne, mise en moyenne Δ = 0,09 pour la partie de plus grande intensité.4. n a varié de 0,24 à 1,1 avec une moyenne de 0,5. Pour l'observateur (L. F. R.) de l'articlçe sur “Conation, Imagerie et Conductance Cérébrale,” et pour les sons faibles notés là, n = 1,1: et l'écart moyen de log10 (courant) de la ligne moyenne a été de 0,19 pour une intensité fixe. Referat Der Zweck dieser Untersuchung war zu entdecken (1) ob man die Tonstärke in Zahlen abschätzen kann, und (wenn dies mölich ist) (2) das funktionelle Verhältnis der mittlern also abgeschätzten Tonstärke zu dem Telephonstrom, (3) wie konsequent eine Vp. in solchen auf einander folgenden Abschätzungen wäre, und (4) in wie fern die Vpn. variieren oder übereinstimmen. Der VI., in einem Zimmer, regulierte einen Strom der einen musikalischen Ton von konstanter Häufigkeit doch variieren der Instensität hervorbrachte, signalisierte dessen Ansatz durch das Licht und bemass dessen Stärke; während die Vp., in einem andern Zimmer, am Telephon horchte, und wenn möglich die Tonstärke in Zahlen aufzeichnen sollte als Multiplum der Tonstärke des Masstabs, der vor und nach jedem Test angegeben wurde. Der Telephonstrom variierte von 10,000 bis 1. Die Antworten auf diese Fragen waren wie folgt: 1. Allen 11 Vpn. gelang es die verschiedenen Tonstärken in Zahlen auszudrücken.2. Für Töne die nicht zu schwach waren (Tonstärke) = Konstant x (entweder Strom odor voltage)n. Für schwache Töne war die Tonstärke gewöhnlich geringer als die welche durch die Extrapolisierung nach dieser Formel den lauten Tönen angepasst waren.3. Persönliche Konsequenz, bemessen nach der “mittlern Abweichung” von Δ in log10 (Tonstärke) von der persönlichen mittlern Kurve, im Durchschnitt Δ=0.09 für den lautern Teil.4. n erstreckte sich von 0.24 bis 1.1 mit einem Durchschnitt von 0.5. Für den Beobachter (L. F. R.) der Abhandlung über “Antrieb, Einbildung und Gehirnleitung” und dür die schwachen Töne die dort erwähnt werden, gibt n = 1.1; und die mittlere Abweichung des log10 (Strom) von der mittlern Linie was 0.19 für eine bestimmte Tonstärke.
Referência(s)