The idiom of demonic possession

1970; Elsevier BV; Volume: 4; Issue: 1 Linguagem: Inglês

10.1016/0037-7856(70)90061-2

ISSN

1879-2987

Autores

Gananath Obeyesekere,

Tópico(s)

Mental Health and Psychiatry

Resumo

A detailed case study of a woman possessed by a demon, in order to show the relationship between mental illness and the cultural idiom in which symptoms are expressed. The thesis is that such expressions of illness are related to the larger experiences and world view of both patient and community, and make illness existentially meaningful to the individual. The common idiom of illness makes possible communication between patient and community, facilitates the mobilization of group resources, permits abreactions, and wards off cognitive and perceptual disorganization. Le problème que traite le présent exposé est le suivant. Dans de nombreuses cultures, la maladie et ses symptômes sont exprimés dans un idiome religieux utillsé par l'ensemble du groupe. Quelle personnalité quelles conséquences sociales découlent de la définition initiale de la maladie et de ses symptômes de cette manière? Nous illustrons ce problème au moyen de l'etude du cas d'une femme cinghlaise, Alice Nona, possédée par l'esprit pénétrant de son beau-père mort. Le problème général: lorsque la maladie est définie en termes religieux, elle cesse d'être un problème que l'on peut isoler d'une manière clinique comme c'est le cas pour les interprétations modernes des maladies. La connaissance des maladies acquise par les personnes se trouve rattachée par l'intermédiaire de concepts tels que le péché, la violation des tabous, la sorcellerie, etc. aux autres connaissance acquises de l'individu et l'opinion mondiale religieuse des gens. En outre, les communications se trouvent établies entre le malade, la famille, le spécialiste rituel et la communauté plus importante, de sorte que la nature et la raison de la maladie sont solidement comprises par tous. De ceci découlent logiquement les moyens de lutter contre la maladie. Les ressources du groupe sont mobilisées selon les expressions de l'idiome de communication commun et au cours des cérémonies rituelles curatives l'individu "fait un retour en arriére sous le contrôle du milieu environnant". Nous nous occupons aussi de problémes plus spécifiques. Nous montrons qu'Alice a des problème de personnalité par rapport à des entraînements sexuels et aggressifs (communs aux autres femmes de la culture); et des problémes familiaux se rapportant à son mari (un ancien condamné revenu dans le droit chemin). L'idiome de la possession par un esprit pénétrant lui permet d'agir d'une manière extrêmement agressive et non féminine et d'exprimer ses sentiments hostiles à son mari par l'intermédiaire du démon la possédant. Elle est ainsi absoute de la responsabilité de ses actions et délivrée des sentiments de culpabilité ou de honte. Ces points spécifiques peuvent présenter une certaine application générale. Une maladie sérieuse, comme le font les psychoses, entraîne trois problèmes ayant trait á l'individu et à son groupe. Une personne gravement malade ne peut pas penser comme les autres de son groupe (une désorganisation cognitive), ou voir le monde comme ils le font (une désorganisation perceptive) ou ressentir comme ils le font (une désorganisation affective). Lorsque l'un quelconque de ces facteurs se présente, une personne se trouve psychologiquement éloignée de sa culture et/ou de la société dont elle fait partie, Nous démontrons cependant dans notre étude de cas, que l'idiome commun partagé par le groupe écarte la désorganisation cognitive et perceptive, étant donné que la culture entiére croit á la réalité du monde des démons. Personne ne dirait que le malade a eu une hallucination: l'expérience est phénoménologiquement réelle. L'éloignement de la culture est ainsi empêché. Cependant en tant que les sentiments de la malade différent quantitativement du groupe, elle ne peut pas remplir ses fonctions normales et elle se trouve ainsi éloignée de la structure sociale. Mais le but des rituels curatifs est d'utiliser le mode de communication commun afin de ramener éventuellement le malade à l'état où il a la faculté de remplir une fonction normale. Ceci peut ou peut ne pas réussir, mais nous croyons que l'idiome de communication commun empêche que la maladie ne dégénr̀e en une psychose dans le sens psychiatrique occidental. El problema del que vamos a tratar es el siguintes: Muchas de las enfermedades culturales y sus síntomas están expresadas en una forma religiosa compartida por un grupo como unidad. ¿ Cuáles son las consecuencias derivadas, personales y sociales, de esta definición inicial de enfermedad y sus síntomas? Vamos a ilustrar este problema con el caso de Alicia Nona, mujer Sinhalesa de cuarenta años de edad poseida por el espŕitu maligno de su suegro muerto Problema general: cuando la enfermedad está definida en terminos religiosos cesa de ser un fenómeno clínico como es con la moderna interpretacion de enfermedades. La persona que sufre de esta enfermedad pasar por momentos tales como; pecado, violación de un mandato, sortilegio, etc.… a los otros expertos al individual o la vista del gran mundo religioso del pueblo. Más adelante, se establece una relación entre pacientes, familia, ritual especialista y una gran comunidad así que, la naturaleza y causas de la enfermedad en firmemente comprendida por todos. De esto dimana, logicamente el sentido de copia con la enfermedad. Se han movilizado grupos de investigadores en los terminos de las communicaciones generales y durante los tratamiento curativos del individuo de regreso al control de ambiente. Tratamos también de un caso más específico. Vem os que Alicia tiene problemas personales en relación la vida sexual y a impulsos agresivos (comun a otras mujeros en el cultivo) y problemas familiares tales como su marido (un convicto reformado). La locura de esta posesión demoníaca hace que ella actue de una forma altamente agresiva y poco femenina y que exprese su hostilidad hiriendo el amor propio de su marido a través del demonio en ella. Ella está completamente absuelta de la responsibilidad de sus actos y libre de culpa o de vergüenza. Este caso específico tiene algunas aplicaciones generales. Enfermedades graves, tales como psycosis, comprende tres problemas partiendo del individuo y de su grupo. Una persona, seriamente enferma, no puede pensar como otras de su grupo (una desorganización congenitiva) y ver el mundo como ellos lo ven (una desorganización de perceptiva) o sentir como ellos sienten (una desorganización de emociones). Cuando uno de estos factores se suscita, una persona está enajenada de su circulo o sociedad. Sin embargo, podemos demostrar en nuestro caso que la enejenación fue compartida por un grupo du congenitivos y una desorganización perceptual desde que todos creyeron en la realidad del mundo del demonio. Nadie podria decir que el paciente tuviera una alucinación; la experiencia es un fenómeno logicamente real. Sin embargo la alucinación podia ser prevenida pero los efectos de la paciente son cualitativamente diferentes de los de un grupo, ella no puede actuar de una forma normal asi que esta excluida del resto de la estructura social. Pero el proposito del tratamiento curativo es el de usar el comun medio de communicación para eventualment volver al paciente a su forma normal y capacidad normal de actuación. Esto puede o no tener éxito pero nosotros creemos que la común comunicación previence la degeneración de la enfermedad en psicosis en el sentido psiquiatrico Western. Das Problem, mit welchem sich diese Abhandlung befasst, ist wie folgt:— Bei villen Kulturstämmen werden Krankheiten und ihre Symptome in Form eines religiösen Idioms ausgedrückt, an welchem die Gesamtheit der Gruppe teilhat. Was für eine Art von Persönlichkeit und welche sozialen Konsequenzen ergeben sich aus dieser, auf solche Weise erfassten Initialdefinition von Krankheiten und ihrer Symptome? Wir schildern dieses Problem vermittels einer Studie über den Fall einer vierzig Jahre alten Singhalesin, Alice Nona genannt, welche von dem dämonischen Geist ihres verstorbenen Schwegervaters besessen ist. Das allgemeine Problem: Wird Krankheit im religiösen Sinne definiert, dann hört sie auf, ein klinisch isolierbarers Phänomen, wie es bei der modernen Interpretierung der Krankheit der Fall ist, zu sein. Die Krankheitsauffassung der betreffenden Person ist durch Begriffe wie Sünde, Tabuverletzung, Zauberei u.s.w. mit den anderen Erfahrungenn des Einzelnen und der weitgreifenderen, religiösen Weltanschauung des Volkes verbunden. Ausserdem wird Verständigung zwischen dem Patienten, der Familie, dem rituellen Fachmann und der weiteren Umgebung hergestellt, so dass die Art und Ursache der Kranheit von allen einwandfrei verstanden wird. Daraus ergibt sich die logische Folgerung, die Krankheit zu behandeln. Gruppenhilfsquellen werden im Sinne des üblichen Verständigungidioms eingesetz und während des Heilungsrituals "regressiert der Einalmensch unter Umgebungskontrolle". Wir befassen uns auch mit mehr spezifischen Fragen. Wir zeigen, dass Alice Persönlichkeitsprobleme betreffend Geschlechts- und Aggressionstriebe (wie auch bei anderen Frauen in dieser Kulturgemeinschaft häufig vorhanden), sowie Familienprobleme in Bezug auf ihren Gatten (ein reformierter, ehemaliger Sträfling) hat. Das Idiom der dämonischen Bessenheit gestattet ihr, auf äusserts aggressive und unweibliche Art zu handeln und ihre feindseligen Gefühle ihrem Gatten gegenüber vermittels des ihr innewohnenden Dämons auszudrücken. Dadurch wird sie der Verantwortung für ihre Handlungsweise enthoben und von Schuld-oder Schamgefühlen befreit. Diese spezifischen Fälle können einigermassen allgemein angewandt werden. Schwere krankheiten, wie z.B. Psychosen bringen Probleme mit sich, von welchen drei den Einzelnen sowie auch seine Gruppe betreffen. Ein schwerkranker Mensch kann nicht wie die anderen in siener Gruppe denken (eine Erkennungszerrütterung) oder die Welt wie diese betrachten (eine Wahrnehmungszerrütterung) oder wie sie fühlen (eine Gemütszerrütterung). Bei Aufreten des einen oder des anderen dieser Faktoren wird der Mensch psychologisch von seinem Kulturstamm und/oder seiner Gemeinschaft entfremdet. Wir zeigen jedoch in unserer Studieüber diesen Fall, dass das allgemeine Idiome, an welchem die Gruppe teilnimmt, Erkennungs und Wahrnehmungszerrütterung abhält, da der ganze Kulturstamm an die Wirklichkeit der Dämonenwelt glaubt. Keiner würde sagen, dass die Patientin eine Halluzination erlitten hat: die Erfahrung ist phänomenologisch wirklich. Dadurch wird Entfremdung vom Kulturstamm verhütet. Da sich jedoch die Gefühle der Patientin qualitativ von denen Gruppe unterscheiden, kann sie nicht ihre normale Rolle spielen und ist somit von der Sozialstruktur entfremdet. Das Ziel Heilungsrituals ist aber, den üblichen Verständigungsplan einzusetzen, um letzten Endes die Patientin zur Ausführung ihrer normalen Rollenbefähigung zurückzubringen. Das kann gelingen oder fehlschlagen, doch glauben wir, dass das allgemeine Verständigunsidiom Ausartung der Krankheit in Psychosen im psychiatrischen Sinne des Westerns verhütet.

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