Attribution of blame in incest cases: A comparison of mental health professionals
1993; Elsevier BV; Volume: 17; Issue: 3 Linguagem: Francês
10.1016/0145-2134(93)90060-i
ISSN1873-7757
AutoresThomas J. Reidy, Neil J. Hochstadt,
Tópico(s)Homicide, Infanticide, and Child Abuse
ResumoThis study examined the attribution of blame by mental health professionals in father/daughter incest cases with respect to the influence of professional affiliation, gender, experience in treating victims and perpetrators, and years of clinical experience. A sample of 101 licensed psychologists, psychiatrists, social workers, and counselors completed a demographic questionnaire, the Jackson Incest Blame Scale, and questionnaire assigning blame for father-daughter incest. A factor analysis of the Jackson Incest Blame Scale yielded six factors rather than the four reported in previous research supporting the hypothesis that attribution of blame is a more complex phenomenon than previously thought. The majority of blame was assigned to the father-perpetrator with mothers and societal factors receiving a small percentage, and daughter victims none of the blame. Clinician experience in treating incest victims, gender of respondent, and professional affiliation differentiated attitudes towards family, situational, and societal blame. Cette étude avait pour but d'étudier l'attribution du blâme par les intervenants dans les cas d'inceste père-fille. On s'est penché sur les facteurs suivants: la discipline à laquelle appartient l'intervenant, son sexe, son expérience au niveau du traitement de victimes et d'agresseurs et ses années d'expérience. L'étude portait sur 101 intervenants: des psychologues, des psychiatres, des travailleurs sociaux et des conseillers, lesquels ont complété un questionnaire sur des renseignments démographiques, le Jackson Incest Blame Scale (JIBS) et un questionnaire qui mesure l'attribution du blâme dans les cas d'inceste père-fille. Le JIBS a révélé 6 facteurs plutôt que les quatre habituellement identifies dans des recherches antérieures. Ceci appuie l'hypothèse que l'attribution du blâme est un phénomène plus complexe que précédemment soupçonné. L'étude démontre que principalement, les intervenants blâment le père agresseur; un petit pourcentage blâment la mère et les facteurs sociaux. Personne ne porte le blame sur les filles. L'expérience clinique, le sexe et l'affiliation professionnelle sont des facteurs qui distinguent les interventants en ce qui à trait a leurs attitudes de blâme envers la famille, la situation particulière et la société. Este estudio examinó la culpabilización que hacen los profesionales de la salud mental en los casos de incesto padre/hija en relación con la influencia de la afiliación profesional, sexo, experienca en tratar víctimas y perpetradores, y los años de experiencia clínica. Una muestra de 101 psicólogos con licencia, psiquìatras, trabajadores sociales y consejeros, completaron un cuestionario demográfico, la “Jackson Incest Blame Scale,” y cuestionarios asignando la culpa en el incesto padre/hija. Un análisis factorial de la ‘Jackson Incest Blame Scale” arrojó seis factores en lugar de los cuatro reportados en investigaciones previas, apoyando la hipótesis de que la signación de culpa es un fenómeno más complejo que lo que se pensaba anteriormente. La mayoría de la culpa fue asignada al padre perpetrador dándole un porciento pequeño a las madres y a los factores sociales, y ninguna culpa a la hija-víctima. La experienca clínica en tratar víctimas de incesto, el sexo de los encuestados, y la afiliación profesional presentó diferencias entre las actitudes hacia la culpa familiar situacional y social.
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