Artigo Revisado por pares

A comparative study of attitudes toward child sexual abuse among social work and judicial system professionals

1988; Elsevier BV; Volume: 12; Issue: 1 Linguagem: Francês

10.1016/0145-2134(88)90010-5

ISSN

1873-7757

Autores

Edward J. Saunders,

Tópico(s)

Child Abuse and Trauma

Resumo

To meet the needs of mutual clients, perpetrators and victims, social service and judicial system professionals share an obligation to collaborate in cases of child sexual abuse. Unknown is the extent to which individuals in counter professions share common beliefs about perpetrators and victims of child sexual abuse. This paper reports an inquiry into the attitudes of five professional groups within an urban criminal justice system specific to victim credibility, victim culpability, offender culpability, and the crime and punishment of child sexual abuse. As predicted, statistically significant differences in attitudes were found among child welfare social workers, police officers, district attorneys, public defenders, and judges. In particular, groups differed in their beliefs about victim credibility and punishment of offenders, suggesting conflict in addressing two fundamental questions in these cases: (1) Can a child be believed when he or she reports sexual abuse? and (2) How should the system deal with offenders? Both questions beg the continuing attention of all professionals invested in these cases, ultimately benefiting victims and offenders. Both quantitative and qualitative findings are provided in this report. Afin de satisfaire les besoins de leur clientèle (agresseurs et victimes), le personnel des services sociaux et du système judiciaire a l'obligation de collaborer dans le cadre de la violence sexuelle à l'égard d'enfants. On ne sait pas jusqu'à quel point les personnes appartenant à ces professions partagent les mêmes idées au sujet des agresseurs et de leurs victimes. Une enquête a été faite qui fait l'objet du présent rapport. Cette enquête s'est adressée à 5 groupes de personnes travaillant dans le cadre d'un système pénal urbain et on s'est particulièrement intéressé aux points suivants: crédibilité des victimes, degré de culpabilité des victimes, degré de culpabibilté des agresseurs, crimes et châtiments dans le cadre de la violence sexuelle à l'égard d'enfants. Comme on pouvait s'y attendre, on a trouvé des différences statistiquement significatives dans les attitudes des travailleurs sociaux, des officiers de police, des procureurs de districts, des avocats et des juges: En particulier, ces différents groupes avaient des idées différentes sur la fiabilité des victimes et la punition à appliquer à l'agresseur; ces différences suggèrent qu'il y a désagrément en ce qui concerne: (1) Est-ce qu'un enfant peut être cru lorsqu'il ou elle dénonce un acte de violence sexuelle? (2) Comment est-ce que le système qui défend la société devrait se comporter à l'égard des agresseurs? Ces deux questions devraient continuellement se poser au personnel impliqué dans ces cas afin que cette attitude soit finalement profitable à la fois aux victimes et aux agresseurs. Le rapport fait état de données à la fois quantitatives et qualitatives. Cinco grupos de profesionales (132 sujetos) fueron investigados (trabajadores sociales, policías, procuradores públicos, defensores públicos, jueces) para determinar las diferencias entre los grupos con respecto a sus opiniones, en casos de abuso sexual del niño acerca de la credibilidad de la víctima, la culpabilidad del ofensor, la gravedad del crimen y el castigo de los ofensores. Fué hipotetizado que al extento que los profesionales mantienen opiniones consistentes son sus roles en el sistema, se pueden esperar diferencias en actitudes entre los grupos. Diferencias estadísticas significantes entre los cinco grupos fueron halladas con respecto a dos tópicos: credibilidad de la víctima y castigo del ofensor. Los nin̂os fueron encontrados más creíbles por los procuradores públicos que (en orden) por los trabajadores sociales, jueces, policías y defensores públicos. Los menos inclinados a castigar al ofensor fueron los defensores públicos, seguidos (en orden) de los trabajadores sociales, procuradores públicos, jueces y policías. Los resultados de la investigación sugieren que las actitudes de los profesionales que participaron son consistentes con los roles que les han sido asignados por el sistema: como defensores de la víctima (procuradores públicos, policías y trabajadores sociales), defensores del ofensor (defensores públicos), y como "mediadores" (jueces).

Referência(s)
Altmetric
PlumX