Artigo Revisado por pares

HYMENOPTERA IN HOP GARDENS, WITH PARTICULAR REFERENCE TO PARASITOIDS ASSOCIATED WITH THE DAMSON‐HOP APHID PHORODON HUMULI

1979; Wiley; Volume: 25; Issue: 2 Linguagem: Francês

10.1111/j.1570-7458.1979.tb02864.x

ISSN

1570-7458

Autores

M. J. W. Copland,

Tópico(s)

Insect and Pesticide Research

Resumo

A study was made of Hymenoptera, particularly aphid parasitoids in hop gardens receiving three different pesticide regimes. Aphidophagous species accounted for 50% of the total Hymenoptera caught in each site, using water traps, and comprised equal numbers of primary and hyperparasitoids. There was no significant increase in the proportion of aphid parasitoids captured when aphid populations were allowed to rise. However, there was a significant decrease in all Hymenoptera when weed control was employed. Parasitoids bred from the hop aphid, Phorodon humuli (Schrank), comprised three species of Aphidiinae which are primary parasitoids and five species of hyperparasitoid. From “mummies” which completed development, 48% hyperparasitism was recorded. However, 34% of “mummies” failed to emerge, most likely killed by predation from Anthocoridae or unsuccessful attack by hyperparasitoids. Native Aphidiinae do not appear to offer a significant contribution towards the integrated control of the hop aphid. RÉSUMÉ HYMENOPTERES DES HOUBLONNIERES, PARTICULIEREMENT PARASITOIDES ASSOCIES A PHORODON HUMULI SCHRANK (APHIDIDAE) L'étude a porté sur les Hyménoptères, particulièrement parasitoïdes d'Aphides, des houblonnières du Kent, ayant reçu 3 traitements chimiques différents L'intérêt de ces Hyménoptères dans la lutte contre le Puceron, Phorodon humuli , a été envisagé. Dans ces houblonnières, pendant la saison, 2286 Hyménoptères ont été capturés dans des pièges à eau (le maximum se situe en juillet et août), bien que dans un cas il semble que la lutte contre les mauvaises herbes ait réduit le nombre total d'Hyménoptères Les aphidiphages correspondent à environ la moitié des Hyménoptères capturés, avec à peu près les mêmes nombres d'entomophages primaires et secondaires. Ces proportions ne varient pas avec l'importance de la canopée foliaire, l'abondance des mauvaises herbes, la présence de pucerons ou l'utilisation d'insecticides. L‘élevage du puceron P. humuli a permis d'obtenir 3 espèces de parasitoïdes primaires (Aphidiinae) et 5 espèces d'hyperparasitoïdes; 34% des pucerons “momifiés” n'ont rien donné; 48% d'hyperparasitisme est enregistré à partir des momies qui ont donné naissance à des insectes. Les Aphidiinae indigènes ne semblent pas permettre d'espérer une contribution intéressante à la lutte intégrée contre P. humuli. Les taux de parasitisme les plus élevés sont obtenus aux faibles densités de pucerons et en absence de prédateurs ce qui ne se produit qu'avec une utilisation abondante de pesticides. L'hyperparasitisme réduit nettement toute population d'Aphidiinae bénéfiques.

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