Auditory evoked potential development in early childhood: A longitudinal study

1978; Elsevier BV; Volume: 44; Issue: 4 Linguagem: Francês

10.1016/0013-4694(78)90026-3

ISSN

1872-6380

Autores

Elizabeth S Orlrich, Ann B. Barnet, Ira P. Weiss, Betty L. Shanks,

Tópico(s)

Language Development and Disorders

Resumo

Serial recordings of auditory evoked potentials (AEPs) to clicks were obtained using a vertex-mastoid derivation from 16 normal children during sleep over an age span from near birth to age 3. The AEP components studied were: N0 (38 ± 10 msec), P1 (79 ± 24 msec), N1 (109 ± 39 msec), P2 (186 ± 35 msec), N2 (409 ± 97 msec), P3A (554 ± 116 msec), P3B (757 ± 121 msec) and P3 (728 ± 128 msec). Amplitudes and latencies of the components were calculated and regressions of the measures on age were computed for the group as a whole, for each subject and for subsets of the data based on sleep stage, sex, order of stimulus presentation and a rearing/race factor. For the group as a whole the latencies of P1, P2, N2, P3, and P3B decreased with age. The amplitudes of P1N1 and the N2P3 waves increased with age. Most change occurred during the first year of life. In general, the changes with age were also found to hold across all of the factors examined, although individuals varied widely in the degree to which they conformed to the trends found for the data as a whole. The amount contributed by each of the factors mentioned above to the total variance was estimated. The proportions varied for different EP components but, in general, age, sleep state, and subject factors other than rearing/race and sex accounted for most variance. One half to 5/6 of the unexplained variance in AEP latencies and amplitudes (i.e., that not due to age, sleep state, etc.) occurred across rather than within subjects. For both the group as a whole and for individual children, P2 and N2 latencies were found to exhibit the greatest stability across time. The results of the longitudinal study reported here were in good agreement with those of a previous study from this laboratory which utilized a cross-sectional design. Des enregistrements en série des potentiels évoqués auditifs (AEPs) à des clicks ont été obtenus au cours du sommeil à l'aide d'une dérivation Vertex-Mastoide chez 16 enfants normaux dont l'âge va de la période néonatale à 3 ans. Les composantes d'AEP étudiées ont été: N0 (38 ± 10 msec), P1 (79 ± 24 msec), N0 (109 ± 39 msec), P2 (186 ± 35 msec), N2 (409 ± 97 msec), P3A (554 ± 116 msec), P3B (757 ± 121 msec) et P3 (728 ± 128 msec). Les amplitudes et les latences des composantes ont été calculées et les régressions des mesures par rapport à l'âge ont été calculées pour l'ensemble du groupe, pour chaque sujet, et pour des sous-groupes de données basés sur le stade de sommeil, le sexe, l'ordre de présentation du stimulus, et en facteur éducation/race. Pour l'ensemble du groupe, les latences de P1, P2, N2, P3 et P3B diminuent avec l'âge. Les amplitudes de P1N1 et de N2P3 augmentent avrc l'âge. La plupart des modifications surviennent au cours de la première année de la vie. En général, les modifications avec l'âge persistent quels que soient les facteurs examinés, bien que les individus varient considérablement quant à leur degré de conformité aux tendances observées pour l'ensemble des données. La proportion dans laquelle chacun des facteurs ci-dessus mentionnés contribue à la variance totale a été estimée. Cette proportion varie pour les différentes composantes des EP mais en général l'âge, le stade de sommeil et les facteurs individuels autres que les facteurs éducation/race et sexe, rendent compte de la plupart de la variance. La moitiéà 5/6ème de la variance inexpliquée dans les latences et les amplitudes de l'AEP (c'est-à-dire celle qui n'est pas due á l'âge, au stade de sommeil, etc.) est interindividuelle plutôt que intraindividuelle. Aussi bien pour le groupe dans sa totalité que pour chaque enfant pris individuellement, les latences de P2 et de N2 montrent la plus grande stabilité avec le temps. Les résultats de l'étude longitudinale rapportés ici sont en bon accord avec ceux d'une étude antérieure du même laboratoire qui utilisait un protocole d'étude transversale.

Referência(s)