Late Miocene European orang-utans, gorillas, humans, or none of the above?
1995; Elsevier BV; Volume: 29; Issue: 2 Linguagem: Francês
10.1006/jhev.1995.1052
ISSN1095-8606
Autores Tópico(s)Amphibian and Reptile Biology
ResumoGenetic studies have demonstrated that humans and chimpanzees are sister taxa, with gorillas, orangutans and gibbons successively more distant. Hominoid similarities suggest that the crown ape ancestor was a suspensory, frugivorous, tropical forest ape. The common ancestor of Pan and Gorilla would likely have been Pan-like. It is therefore likely that the common ancestor of chimpanzees and humans was also Pan-like, and lived in Late Miocene Africa. But it is possible that most if not all Miocene apes are unrelated to crown hominoids. More fossils are urgently needed from within the probable Later Neogene geographical range of the living ape clades. Recent discoveries of very early hominids from Chad raise interesting questions about this hypothesis. To cite this article: D. Pilbeam, N. Young, C. R. Palevol 3 (2004).L'évolution des hominoïdés : synthèse de données divergentes. Plusieurs analyses génétiques démontrent que l'homme et les chimpanzés forment un groupe-frère, avec les gorilles, l'orang-outan et les gibbons phylogénétiquement plus éloignés. Les ressemblances anatomiques au sein d'Hominoidea suggèrent que leur ancêtre commun était un grand singe frugivore, adapté à la suspension par les membres supérieurs, vivant en milieu tropical. De plus, l'ancêtre commun de Pan et Gorilla ressemblait probablement à Pan. Il en découle que l'ancêtre commun des chimpanzés et de l'homme était aussi du type Pan, vivant en Afrique au Miocène récent. Toutefois, il est aussi possible que peu, si ce n'est aucun des grands singes du Miocène ne soient directement apparentés aux hominoïdés. Il y a un grand besoin de nouveaux fossiles provenant de la distribution géographique probable des clades de grands singes actuels au Néogène plus récent. Plusieurs découvertes récentes de restes des plus anciens homininés soulèvent d'intéressantes questions à ce sujet. Pour citer cet article : D. Pilbeam, N. Young, C. R. Palevol 3 (2004).
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