Berliet, un constructeur automobile français face au marché chinois (années 1950-1960)
2011; Presses Universitaires De France; Volume: n° 146; Issue: 2 Linguagem: Francês
10.3917/ri.146.0043
ISSN2105-2654
Autores Tópico(s)French Historical and Cultural Studies
ResumoRésumé Le cas du constructeur lyonnais Automobiles Marius Berliet ( amb ) illustre les difficultés des entreprises à commercer avec la Chine populaire pendant la Guerre froide. Mais amb apparaît aussi original, voire pionnier, dans son approche du marché chinois. Ses tentatives sont infructueuses jusqu’au milieu des années 1950 : l’absence de représentation commerciale, de relations diplomatiques franco-chinoises et surtout l’existence d’un dispositif multilatéral de restrictions aux échanges commerciaux constituent des handicaps trop importants. En revanche, par la suite, Berliet peut exporter des camions à partir des filiales marocaine et algérienne du groupe jusqu’au début des années 1960. Après l’établissement des relations diplomatiques entre la France et la Chine communiste, en 1964, Automobiles Marius Berliet signe l’accord dit « licence Chine » (1965), premier transfert de technologie français avec la rpc .
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