Size-fractionated phytoplankton biomass and species composition in the Indian sector of the Southern Ocean during austral summer
1998; Elsevier BV; Volume: 17; Issue: 1-4 Linguagem: Francês
10.1016/s0924-7963(98)00037-2
ISSN1879-1573
AutoresM. Fiala, M. Semeneh, Louise Oriol,
Tópico(s)Microbial Community Ecology and Physiology
ResumoDuring the late austral summer of 1994, Antarctic waters were characterized by low phytoplankton biomass. Along the 62°E meridian transect, between 49°S and 67°S, chlorophyll (Chl.) a concentration in the upper 150 m was on average 0.2 mg m−3. However, in the Seasonal Ice Zone (SIZ) chlorophyll a concentrations were higher, with a characteristic deep chlorophyll maximum. The highest value (0.6 mg Chl. a m−3) was measured at the Antarctic Divergence, 64°S, corresponding to the depth of the temperature minimum (∼100 m). This deep biomass maximum decreased from South to North, disappeared in the Permanently Open Ocean Zone (POOZ) and reappeared with less vigour in the vicinity of the Polar Front Zone (PFZ). In the SIZ, the upper mixed layer was shallow, biomass was higher and the >10 μm fraction was predominant. In this zone the >10 μm, 2–10 μm and 10 μm est prédominante. Dans cette zone, les fractions de taille >10 μm, 2–10 μm et <2 μm représentent respectivement 46%, 25.1% et 28.9% de la biomasse totale intégrée entre 0 et 100 m. Les populations naturelles y sont essentiellement composées de grosses diatomées et de dinoflagellés qui représentent respectivement 42.7% et 33.1% de la biomasse carbonée autotrophe. Vers le nord, parallèlement à la diminution de la biomasse, l'importance des algues picoplanctoniques et des flagellés nanoplanctoniques autotrophes (Cryptophycées essentiellement) augmente fortement. Dans la Zone Océanique, la fraction picoplanctonique représente 47.4% de la biomasse chlorophyllienne totale. Il y a une opposition entre la Zone Océanique libre de glace caractérisée par une biomasse faible dominée par le picoplancton et la Zone Saisonnière des glaces où la biomasse relativement plus élevée est dominée par les grosses diatomées. Cette dualité reflète la variabilité spatiale et temporelle qui prévaut dans l'ensemble de l'écosystème pélagique antarctique.
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