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Survey of Loxodonta africana (Elephantidae)-caused bark injury on Adansonia digitata (Malavaceae) within Pendjari Biosphere Reserve, Benin

2013; Wiley; Volume: 52; Issue: 4 Linguagem: Francês

10.1111/aje.12131

1365-2028

Barthélémy Kassa, Adandé Belarmain Fandohan, Akomian Fortuné Azihou, Achille Ephrem Assogbadjo, Ayub M. O. Oduor, Ferdinand Claude Kidjo, S Babatoundé, Jian Liu, Romain Glèlè Kakaï,

Agriculture and Rural Development Research

This study assessed the level of bark damage on baobab trees (Adansonia digitata) as caused by elephants (Loxodonta africana), and the possibility of finding refuges where baobab could escape bark damage within the Pendjari Biosphere Reserve (PBR). Distributions of elephants and baobab trees within the PBR were compared using presence records of both species taken along transect lines. Two sites (National Park vs. hunting zone) that differ in elephant density were compared for intensity of bark damage and correlations between the intensity of bark damage and stem size of the baobab trees and population structure of the baobab trees. Elephants and baobabs showed co-occurrence in PBR suggesting that there is nowhere to hide for baobabs. The intensity of bark damage was positively correlated with elephant density and baobab girth. Baobab population girth classes were not significantly different in areas with and without bark damage. Future studies should test whether there are certain baobab genotypes that can resist elephant damage. It could also be tested whether effective conservation of elephants in the PBR has resulted in a bull-biased population over its carrying capacity. Cette étude a évalué les dommages causés aux écorces de baobabs (Adansonia digitata) par les éléphants (Loxodonta africana) ainsi que la possibilité de trouver des refuges où les baobabs pourraient éviter ces dommages dans la Réserve de Biosphère de la Pendjari (RBP). La distribution des éléphants et celle des baobabs dans la RBP ont été comparées en utilisant les relevés de présence des deux espèces le long de transects. Deux sites (parc national vs zone de chasse) où la densité des éléphants est différente ont été comparés en ce qui concerne les dégâts causés aux écorces et la corrélation entre l'intensité de ces dégâts, la circonférence des troncs de baobabs et la structure de la population de baobabs. Les éléphants et les baobabs coexistent dans la RBP, ce qui laisse penser qu'il n'y a pas d'endroit où les baobabs sont à l'abri. L'intensité des dommages causés aux écorces était positivement liée à la densité des éléphants et à la circonférence des baobabs. Les classes de circonférence de la population de baobab n'étaient pas significativement différentes dans les zones avec ou sans dégâts. Les futures études devraient vérifier s'il existe certains génotypes de baobabs capables de résister aux dégâts des éléphants. On pourrait aussi voir si la conservation efficace des éléphants dans la RBP n'a pas conduit á 'une population biaisée en faveur des mâles et qui dépasse sa capacité de charge. Please note: The publisher is not responsible for the content or functionality of any supporting information supplied by the authors. Any queries (other than missing content) should be directed to the corresponding author for the article.