The Relative Legibility of the Letters, the Digits, and of Certain Mathematical Signs
1928; Taylor & Francis; Volume: 1; Issue: 3-4 Linguagem: Inglês
10.1080/00221309.1928.9918022
ISSN1940-0888
Autores Tópico(s)Color Science and Applications
ResumoClick to increase image sizeClick to decrease image size Résumé La lisibilité relative des lettres, des chiffres, et de certains signes mathématiques a été déterminée au moyen d'une technique de courte exposition où le pourcentage des lectures correctes a donné le résultat de lisibilité. La Série I a compris les lettres minuscules plus les autres caractères, et la Série II a compris les majuscules plus les chiffres et les signes. La lisibilité des lettres comme déterminée dans cette étude et dans les études par d'autres a été comparée avec la fréquence des lettres dans l'impression. L'ordre de la lisibilté des lettres a été à peu près le même conniaté dans les études antérieures (sauf quand on a employé des types de test). L'ordre de lisibilité des chiffres est un peu différent dans les deux séries mais il n'y a qu'une petite différence au cas des signes mathématiques. La plupart des chiffres tombent dans le groupe des lettres ayant une assez bonne lisibilité et à peu près tous les signes sont groupés avec les lettres d'une pauvre ou assez bonne lisibilité. L'analyse montre que les facteurs qui influencent la lisibilité des caractères isolés sont: (a) grandeur, (b) simplicité ou complexité de contour, (c) épaisseur du bâton et du front du caractère, (d) les ombres et les lignes minces, (e) espace blanc renfermé entre les contours, (f) force ou manque de force dans les parties faisant des distinctions. Puisque l'usage, l'économie de l'espace dans l'impression, le placement de l'argent, et le goût esthétique empêchent des changements dans l'impression, il vaut mieux sans doute essayer, en cherchant des améliorations, de simplifier les contours, de diminuer le nombre de lignes minces, et d'appuyer sur les parties caractéristiques plutôt que de soutenir des changements radicaux de grandeur et de forme. La fréquence se trouve avoir une moyenne corrélation négative ou nulle corrélation avec la lisibilité. Quelques-unes des lettres employées le plus fréquemment sont d'une lisibilité très médiocre. Referat Die verhältnismässige Lesbarkeit der Buchstaben, Ziffern, und gewisser mathematischer Zeichen wurde durch eine kurze, mechanische Exponirung bestimmt, wobei der Prozentsatz der Häufigkeit des Richtiglesens, den Grad der Lesbarkeit ergab. Serie I umfasste die kleinen Buchstaben nebst allen andern Zeichen, und Serie II bestand aus den grossen Buchstaben sammt den Ziffern und Zeichen. Den Grad der Lesbarkeit der Buchstaben, wie man ihn nach dieser Untersuchung, sowie nach den Untersuchungen Anderer, festgesellt hatte, verglich man mit der Häufigkeit des Vorkommens derselben im Druck. Der Grad der Lesbarkeit der verschiednen Buchstaben stimmte so ziemlich mit den Ergebnissen früherer Untersuchungen überein, (ausser in Fällen wo man Test Typen benutzt hatte). Der Grad der Lesbarkeit der Ziffern varriiert etwas in den zwei Serien; bei den mathematischen Zeichen, jedoch, ist dieser Unterschied sehr gering. Die meisten Ziffern fallen in die Gruppe der Buchstaben von mittelmässiger Lesbarkeit und fast alle Zeichen kommen zu der Buchstabengruppe von mittelmässiger oder niedriger Lesbarkeit. Die Analyse beweist dass die Lesbarkeit einzelner Zeichen durch folgende Faktoren beeinflusst wird: (a) Grösse, (b) Einfachheit oder Verwicklung der Umrisse, (c) Breite der Striche und der Druckform, (d) Schattirung und Haarstriche, (e) der weisse Flächeninhalt der Umrisse, (f) Betonung der Unterschiede, oder Mangel an Betonung der Unterschiede der verschiedonen Teile. Da der herkömmliche Gebrauch, Oekonomie der Druekfläche, Unkosten und Schönheitssinn, Veränderungen des Druckes verhindern, so ist es wohl am besten, Veränderungsversuche auf die Vereinfachung der Linien zu beschränken, wie Verminderung der Haarstriche, und Betonung der charakteristischen Teile, als radikale Veränderungen in Grösse und Form zu befürworten. Häufigkeit des Vorkommens hat nur eine mässige, negative Korrelation oder gar keine Korrelation mit der Lesbarkeit. Manche Buchstaben die am häufigsten vorkommen, sind von sehr geringer Lesbarkeit.
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