Trance and visibility at dawn: racial dynamics in Goa’s rave scene
2005; Taylor & Francis; Volume: 6; Issue: 5 Linguagem: Francês
10.1080/14649360500258328
ISSN1470-1197
Autores Tópico(s)Cinema and Media Studies
ResumoAbstract The geography of music has recently turned to questions of embodiment and materiality to account for the sensuous specificity of music. Extending this work, this article emphasizes the constitutive work that embodied experience of music and space does for social differences such as race and gender. It criticizes what is perceived as a limited conception of embodiment in non-representational theory. Using ethnographic evidence from the rave tourism scene in Goa, India, it is argued that precisely during the scene's most mystical and hedonistic moments (what will be called the 'morning phase'), racial dynamics are at their starkest. It is crucial to understand that racial difference is emergent and not automatic. The article then suggests a Deleuzian musicology which conceives music not as form, language or ideology, but as force. Accounting for the richness of musical materiality involves examining the networks of power and inequality through which it necessarily operates. La géographie de la musique s'est penchée récemment sur les questions de la représentation et de la matérialité pour rendre compte de la spécificité sensorielle de la musique. Cet article permet d'élargir le champ de connaissances en attirant l'attention sur les travaux fondamentaux qui montrent que l'expérience matérielle de la musique et l'espace contribuent aux différences sociales liées à la race et au sexe. Il jette un regard critique sur ce qui est perçu comme étant une conception restreinte de le représentation dans la théorie non représentative. Des données ethnographiques sur le milieu du tourisme rave à Goa en Inde montrent que l'épisode la plus mystique et hédoniste (nommé la «phase matinal») du rave est celle où les dynamiques raciales sont les plus frappantes. Ce qu'il faut comprendre de la différence raciale est qu'elle se manifeste de manière spontanée et non automatique. Par la suite, l'article propose une musicologie deleuzienne qui conçoit la musique non pas comme une forme, une langue ou une idéologie, mais comme une force. Tenir compte de la richesse de la matérialité musicale comporte l'examen des réseaux de pouvoir et d'inégalité au travers desquels elle doit forcément composer. La geografía de música ha pasado al tema de encarnación y materialidad para explicar la especificidad sensual de la música. Ampliando este trabajo, este papel hace hincapié en el trabajo constitutivo que la experiencia encarnada de música y espacio hace para diferencias sociales como raza y sexo. Critica lo que se considera como una concepción limitada de encarnación en la teoría no figurativa. Uso pruebas del turismo de rave en Goa, India para sugerir que durante los momentos más místicos y hedonistas de una fiesta rave (lo que se llama la fase de madrugada) la dinámica racial es más marcada. Es muy importante entender que la diferencia racial es emergente y no automática. El papel sigue por sugerir una musicología Deleuziana en que la música no es ni forma, ni lengua ni ideología sino más bien una fuerza. Para explicar la riqueza de la materialidad musical hay que examinar las redes de poder y desigualdad por las cuales opera. Keywords: musicracetourismembodimentnon-representational theoryDeleuzeKeywords: Mots-clefs: musiqueracetourismereprésentationthéorie non représentativeDeleuzeKeywords: Palabras claves: musicarazaturismoencarnaciónteoria no figurativaDeleuze Acknowledgements Thanks to Ben Anderson and Fran Mort for inviting me to contribute to this special issue. Thanks to the three anonymous referees and Rob Kitchin for suggestions and criticisms.
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