Artigo Revisado por pares

Maize resistance to gibberella ear rot: symptoms, deoxynivalenol, and yield 1

2001; Taylor & Francis; Volume: 23; Issue: 1 Linguagem: Francês

10.1080/07060660109506915

ISSN

1715-2992

Autores

B. Vigier, L. M. Reid, L. M. Dwyer, D. W. Stewart, R.C. Sinha, John T. Arnason, G. Butler,

Tópico(s)

Plant Pathogens and Fungal Diseases

Resumo

To investigate the effect of different environments on maize resistance to gibberella ear rot, disease symptoms, deoxynivalenol (DON) concentration, and grain yield were measured in three maize (Zea mays L.) inbred lines and five hybrids, from 1994 to1996, at six locations in eastern Canada. At each location, all genotypes were inoculated with a three-isolate macroconidial mix of Fusarium graminearum Schwabe [teleomorph: Gibberella zeae (Schw.) Petch] using a kernel-stab inoculation technique. Results show that year to year variation is more important than variation associated with multiple locations in testing for genotypic resistance to gibberella ear rot, according to disease symptoms and DON content. Severe ear rot and higher DON concentrations among genotypes prevailed in 1994, when environmental conditions during the growing season were more favourable for ear rot development. Regression models indicated that higher ear rot severity and DON concentration were associated with an increase in the total number of days from July to September with relative humidity equal to or greater than 80%. In a favourable environment, moderately severe ear rot symptoms gave up to a 48% yield reduction in susceptible maize hybrids. Afin d'étudier les effets des variations environnementales sur la résistance du maïs (Zea mays L.) à la fusariose de l'épi, des mesures de la sévérité des symptômes de la maladie, de la teneur en déoxynivalenol (DON) et du rendement en grain ont été prises sur trois lignées de maïs et cinq hybrides commerciaux, de 1994 à 1996, sur 6 sites de l'est du Canada. [Agrave] chaque site, les épis de chaque génotype ont été inoculés avec la technique du poinçon à pointes trempées dans une solution macroconidienne constituée de trois isolats du Fusarium graminearum Schwabe [teleomorph: Gibberella zeae (Schw.) Petch]. Les résultats démontrent que l'effet des années est plus important que l'effet des divers sites d'essais dans l'évaluation de la résistance à la fusariose de l'épi selon les symptômes de la maladie et la teneur en DON. Des symptômes plus sévères de la maladie et une teneur plus élevée en DON ont été observés en 1994, une année plus favorable au développement de la fusariose de l'épi. Une régression linéaire a permis d'établir une association entre la sévérité des symptômes de la maladie et la teneur en DON avec un accroissement du nombre de jours avec une humidité relative égale ou supérieure à 80% durant la période de juillet à septembre. Dans un environnement favorable, la présence modérée de symptômes de la maladie est associée à une réduction de rendement de l'ordre de 48% sur des hybrides de maïs susceptibles.

Referência(s)