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The ecology of three sympatric jackal species in the Rift Valley of Kenya

1989; Wiley; Volume: 27; Issue: 4 Linguagem: Francês

10.1111/j.1365-2028.1989.tb01025.x

1365-2028

Todd K. Fuller, Audrone R. Biknevicius, Pieter W. Kat, Blaire Van Valkenburgh, Robert K. Wayne,

Animal Ecology and Behavior Studies

SUMMARY During June‐August 1987, eight black‐backed (Canis mesomelas) Schreber, five golden (C. aureus) L., and two side‐striped (C adustus) Sundevall jackals were captured and radio‐monitored near Elmenteita, Kenya. Minimum seasonal ranges of adults of all species (n = 17–25 radio‐locations each) averaged 1–3 km 2 , but two C. aureus < 1 year old had ranges of about 6 and 22 km 2 . Habitat use varied both within and among species and was related to availability within home ranges; generally, C. mesomelas were located more often in closed woodlands, C. aureus in grassland, and C. adustus in open Euphorbia woodland. All species were active near sunrise and/or sunset, but only C. aureus was active during the day and not in the middle of the night. The three jackal species appear to segregate ecologically, resulting in reduced potential for competition. Résumé Entre juin et septembre 1987, huit chacals à dos noir (Canis mesomelas) , cinq chacals dorés (C. aureus) et deux chacals à flancs rayés (C. adustus) furent capturés et suivis par télémetrie pres de Elmenteita au Kenya. Le domaine vital saisonnier minimal chez les adultes de toutes les espéces avait une moyenne de 1 à 3 km 2 mais deux C. aureus de moins ?un an avaient des domaines vitaux ?environ 6 et 22 km 2 .utilisation de habitat variait autant entre espéces qu'entre individus et était en relation avec la disponibilitéàľintérieur des domaines vitaux; généralement, les C. mesomelas étaient plus souvent situés en savane arboré dense, C. aureus , en savane, et C. adustus , en savane arborée à Euphorbia. Toutes les espéces étaient actives au lever et/ou au coucher du soleil, mais seul C. aureus était actif en plein jour et pas au milieu de la nuit. Les trois espéces de chacals paraissent se différencier écologiquement, ce qui réduit ainsi le potentiel de compétition.