Augustus De Morgan's anonymous reviews for The Athenæum: A mirror of a Victorian mathematician
2015; Elsevier BV; Volume: 43; Issue: 2 Linguagem: Francês
10.1016/j.hm.2015.09.001
ISSN1090-249X
AutoresSloan Evans Despeaux, Adrian Rice,
Tópico(s)Historical Art and Culture Studies
ResumoThe weekly London-based literary magazine, The Athenæum, supplied Victorian Britain with news of the latest developments in the arts, science, and politics. Book reviews represented a regular department of the periodical. While these reviews were usually anonymous, The Athenæum's editors identified the reviewers in their private marked copies of the journal, now held by City University, London. These marked copies reveal that Augustus De Morgan produced around 1000 reviews for the journal from 1840 to 1869. As a reviewer, De Morgan covered books on a wide variety of topics both within and outside mathematics. A consideration of a selection of the mathematical works De Morgan chose to review gives an insight into how he believed issues surrounding mathematics and its study should be presented to the wide and non-specialist audience of The Athenæum, and thus to the lay reader of mid-Victorian Britain. The Athenæum, un magazine littéraire hebdomadaire basé à Londres, alimentait la Grande-Bretagne victorienne en informations sur les derniers développements des arts, des sciences et de la politique. Les critiques de livres formaient une rubrique spécifique de la revue. Ces recensions étaient généralement anonymes. Cependant, les rédacteurs de The Athenæum ont indiqué le nom des auteurs dans leurs exemplaires personnels corrigés du journal, actuellement déposés à la City University de Londres. Ces exemplaires annotés révèlent que Augustus De Morgan a écrit environ un millier de recensions pour la revue, de 1840 à 1869. En tant que critique, De Morgan s'est occupé de livres portant sur des thèmes très variés, concernant ou non les mathématiques. Notre analyse d'une sélection des ouvrages de mathématiques que De Morgan a choisi d'examiner donne un aperçu de la manière dont il pensait que les questions relatives aux mathématiques et à leur étude devaient être présentées au large public non spécialisé de The Athenæum, c'est-à-dire au lecteur profane de la Grande-Bretagne victorienne.
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