Respiratory disease in Canadian First Nations and Inuit children
2012; Oxford University Press; Linguagem: Francês
10.1093/pch/17.7.376
ISSN1918-1485
Autores Tópico(s)Viral gastroenteritis research and epidemiology
ResumoFirst Nations and Inuit Children are disproportionately affected by respiratory infections such as viral bronchiolitis, pneumonia and tuberculosis. Rates of long-term lung disease following severe respiratory infections early in life, such as bronchiectasis, are also elevated. In contrast, rates of asthma may be somewhat less than in other Canadian children, although rates of poor asthma control are increased. Causes for the high rates of infections include poverty, overcrowding, housing in need of major repairs and better ventilation, and increased exposure to environmental tobacco smoke. Improving these issues will require addressing the social origins of health in First Nations and Inuit communities, including poverty and employment, building more and improving existing housing, and will likely require developing enhanced immunization and surveillance strategies. Le nombre d’enfants inuits et des Premières nations atteints d’infections respiratoires comme la bronchiolite virale, la pneumonie et la tuberculose est disproportionné. Le taux de maladies pulmonaires à long terme après de graves infections respiratoires contractées tôt dans la vie, telles que la bronchiectasie, est également élevé. Par contre, le taux d’asthme serait quelque peu inférieur à celui des autres enfants canadiens, même si le taux de mauvais contrôle de l’asthme est plus marqué. Ces forts taux d’infections s’expliquent, entre autres, par la pauvreté, les maisons surpeuplées, les habitations qui ont besoin de réparations majeures et d’une meilleure ventilation et par une exposition accrue à la fumée du tabac dans l’environnement. Pour atténuer ces problèmes, il faudra s’attaquer aux origines sociales de la santé dans les communautés inuites et des Premières nations, soit la pauvreté et l’emploi, la construction d’un plus grand nombre d’habitations et l’amélioration des habitations existantes, et il faudra probablement élaborer de meilleures stratégies de vaccination et de surveillance.
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