A propos de Simulium (Prosimulium) hirtipes Fries 1824 : observations morphologiques et biologiques. Stations nouvelles pour la variété Arvernense Grenier 1947
1955; EDP Sciences; Volume: 30; Issue: 3 Linguagem: Francês
10.1051/parasite/1955303272
ISSN2772-4042
Autores Tópico(s)Algal biology and biofuel production
ResumoL'espèce type, décrite par Friès en 1824, d'après des exemplaires originaires de Norvège, présente, chez la nymphe, des filaments res piratoires au nombre de 16.Des variations importantes existent en ce qui concerne le nombre de ces filaments, puisque leur nombre peut atteindre 50 à 60 chez certains S. hirtipes, originaires d'Améri que du Nord (Malloch, 1914), où existe d'ailleurs également la forme à 16 filaments.Pour une forme caractérisée par un nombre de fila ments variant de 25 à 30, Grenier (1947) proposait la variété S. (P.) hirtipes, var.arvernense. Observations morphologiques et biologiquesPuri (1925) décrit le cocon de S. hirtipes comme une masse de soie tissée très grossièrement recouvrant totalement la nymphe, dont ne sont visibles que les filaments respiratoires.Partout où nous avons trouvé cette espèce (la Semoy dans les Ardennes, la Rosanna dans le Tyrol autrichien, la Sorède, la Baillaurie, la Massane dans les Pyrénées-Orientales), que nous ayons eu affaire à des exemplai res nymphaux à 16 ou à 25 filaments, nous n'avons que tout à fait exceptionnellement rencontré ce type de cocon.Celui-ci consistait au contraire le plus souvent en un simple feutrage globuleux, dans lequel était ancrée solidement l'extrémité postérieure de l'abdo men (1).Là du moins où nous l'avons trouvée, il semble que la nym phe de S. hirtipes n'est complètement protégée que lorsque la larve,(1) Il est à remarquer que Edwards (1920), transcrivant les descriptions des auteurs américains concernant la forme à 50 filaments, dit « pupae only partly covered ».
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