La fiesta como marco ficcional del escritor venezolano : "De comó Panchito Mandefuá cenó con el niño Jesús" de José Rafael Pocaterra y "1935" de Orlando Araujo

2002; Centre de recherche interuniversitaire sur les champs culturels en Amérique latine; Volume: 28; Issue: 1 Linguagem: Francês

10.3406/ameri.2002.1574

ISSN

2427-9048

Autores

Javier Meneses Linares,

Tópico(s)

Latin American Literature Studies

Resumo

"La fête comme cadre fictionnel dans des nouvelles vénézuéliennes : '1935' de Orlando Araujo et 'De cómo Panchito Mandefu cenó con el nino Jesús' de José Rafael Pocaterra" La célébration, en tant qu'instrument idéologique et en tant qu'acte de fiction, archétype ou tableau de mœurs apparaît presque en même temps que la prose narrative au Venezuela. Les personnages y sont montrés dans le cadre événementiel (rituels, fêtes ou coutumes traditionnelles). En particulier dans les contes et nouvelles où cela revêt un caractère de solennité où s'intronisent les personnages les plus riches qui, grâce à ce mélange pénètrent la conscience des différentes classes sociales. Parmi le vaste ensemble de récits, deux nouvelles (proches du conte traditionnel) évoquent le conte de Noël, tout en présentant deux réalités d'un moment socio-historique de la plus grande importance au Venezuela : la dictature de Juan Vicente Gomez. La célébration, instrument manipulé par les officiels, donne aux écrivains, José Rafael Pocaterra et Orlando Araujo, l'occasion de recréer un événement et une époque et de représenter l'homme qui fait cette histoire avec sa culture et sa tradition ancestrale.

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