Revisão Revisado por pares

Vaginal Hysterectomy: Dispelling the Myths

2007; Elsevier BV; Volume: 29; Issue: 5 Linguagem: Francês

10.1016/s1701-2163(16)35494-9

ISSN

2665-9867

Autores

Geoff McCracken, Guylaine Lefebvre,

Tópico(s)

Gynecological conditions and treatments

Resumo

Despite advances in minimally invasive surgery, most hysterectomies are still performed by laparotomy. The ratio of abdominal to vaginal hysterectomies ranges from 1:1 to 6:1 across North America, and in Canada is approximately 3:1. The SOGC clinical practice guideline on hysterectomy states that the vaginal route should be considered for every hysterectomy; if it is assumed that most surgeons would try to follow accepted guidelines, vaginal hysterectomy is presumably being considered and excluded. The evidence is compelling that vaginal hysterectomy is the approach of choice for benign pathology. The cited contraindications to vaginal hysterectomy are often unsubstantiated. In this commentary we examine the four reasons most often cited for avoiding a vaginal hysterectomy: (1) uterine size, (2) nulliparity and uterine descent, (3) need for oophorectomy, and (4) previous abdominopelvic surgery and extrauterine disease. More research is necessary to evaluate and demystify the barriers to performing minimally invasive hysterectomy. We recommend that preceptorship programs be developed for gynaecologic surgeons in an attempt to decrease the ratio of abdominal to vaginal hysterectomies. Malgré les percées dans le domaine de la chirurgie minimalement effractive, la plupart des hystérectomies sont toujours effectuées par laparotomie. La proportion d’hystérectomies abdominales, par rapport aux hystérectomies vaginales, varie de 1:1 à 6:1 en Amérique du Nord; au Canada, elle se situe à environ 3:1. La directive clinique de la SOGC sur l’hystérectomie indique que la voie vaginale devrait être envisagée pour chacune des hystérectomies pratiquées; si l’on présume que la plupart des chirurgiens tentent de respecter les directives cliniques d’usage, on doit donc en venir à la conclusion que l’hystérectomie vaginale est d’abord envisagée pour ensuite être mise de côté. Selon les données dont nous disposons, l’hystérectomie vaginale constitue de toute évidence l’approche à privilégier en présence d’une pathologie bénigne. Les contre-indications qui sont mentionnées en ce qui a trait à l’hystérectomie vaginale s’avère souvent sans fondement. Dans le cadre du présent commentaire, nous nous sommes penchés sur les quatre raisons les plus souvent invoquées pour rejeter le recours à l’hystérectomie vaginale : (1) dimensions de l’utérus, (2) nulliparité et descente utérine, (3) nécessité de procéder à une ovariectomie et (4) antécédents de chirurgie abdominopelvienne et de pathologie extra-utérine. D’autres recherches s’avèrent nécessaires afin d’évaluer et de démystifier les obstacles à l’exécution d’une hystérectomie minimalement effractive. Nous recommandons l’élaboration de programmes de préceptorat à l’intention des chirurgiens en gynécologie, et ce, pour tenter d’abaisser la proportion d’hystérectomies abdominales, par rapport aux hystérectomies vaginales.

Referência(s)