Artigo Acesso aberto

Opisthorchis tenuicollis (= O. Felineus ) en Pologne. Cas observés chez l'homme

1937; EDP Sciences; Volume: 15; Issue: 6 Linguagem: Francês

10.1051/parasite/1937156507

ISSN

2772-4042

Autores

L. Ejsmont,

Tópico(s)

Vector-borne infectious diseases

Resumo

ont accepté l'identité de ces formes, ou mis en doute leur séparation.Cepen dant, l 'opinion contraire fut appuyée par l'autorité de Braun, qui considéra ces formes comme distinctes et prit position dans un certain nombre de publications, surtout en 1893, 1900, 1901, 1902, 1907, 1915 et 1925.Lé trait morphologique le plus important qui semble différencier ces deux formes, est l 'allongement de la partie antérieure du corps d'O.tenuicollis.Cependant, des individus provenant du chat peu vent avoir aussi la partie antérieure du corps très allongée, s'assi milant alors complètement à l 'exemplaire d'Erignathus barbatus (Fabr.),figuré par Braun (1893), ainsi que j 'ai pu l 'observer moimême (fig. 1 a).La figure 39 a de Vogel (1934) illustre parfaitement aussi un allongement extrême de la partie antérieure du corps.D'ailleurs, des trématodes d'espèces plus petites, parasites du foie, sous l 'influence d'une mauvaise fixation, présentent souvent aussi un allongement anormal de la partie antérieure du corps : j 'ai pu parfaitement le reconnaître chez les nombreux individus de Dicrocoelium dendriticum (Rud.1819), qui étaient mal fixés.Price n'a pas raison, d'après moi, d'identifier O. viverrini (Poi rier 1886), qui peut aussi exister chez l 'homme (1), avec O. tenui collis, ne prenant pas en considération la présence d'épines chez la première espèce.Erhardt (1935) considère aussi O. viverrini comme une bonne espèce.Erhardt (1935) distingue « vorläufig » des races différentes (sous-espèces) : O. tenuicollis tenuicollis, d'Erignathus barbatus et O. tenuicollis felineus chez d'autres mammifères, d'après de petites différences dans les dimensions de certains organes et des oeufs.Cet(1) Morgan ne considère pas O. viverrini comme existant chez l'homme.

Referência(s)