Methods of sampling the bottom fauna in stony streams

1958; Taylor & Francis; Volume: 8; Issue: 1 Linguagem: Alemão

10.1080/05384680.1958.11904090

ISSN

0538-4680

Autores

T. T. Macan,

Tópico(s)

Ecology and biodiversity studies

Resumo

Click to increase image sizeClick to decrease image sizeZusammenfassungEs wird das Problem behandelt, wie man in Fließgewässern, die infolge höherer Strömungsgeschwindigkeit einen Untergrund von losen Steinen verschiedener Größe haben, zu quantitativen Aufsammlungen gelangen kann. Es werden fünf Methoden, die in verschiedenartigen Fließgewässern verwendet worden sind, diskutiert und ihre Brauchbarkeit für schnellfließende Gewässer untersucht. 1. Man kann die Steine mit der Hand aufheben und abmessen, was offenbar nur dann durchführbar ist, wenn der Untergrund nur aus großen Steinen besteht und nicht außerdem auch noch kleine Steine vorhanden sind. Der Autor machte zahlreiche Aufsammlungen, wobei er eine bestimmte Zeit lang stromaufwärts arbeitete und dabei die beim Aufheben der Steine wegschwimmenden Tiere in einem Handnetz fing.2. Einen künstlichen Untergrund zur Neubesiedlung in den Gewässerboden einzubringen, ist in schnell fließendem Wasser nicht durchführbar, da die Strömung das Ausgraben einer genügend tiefen Grube unmöglich macht.3. Die Abgrenzung eines bestimmten Areals durch Kasten oder Zylinder (Abb. 1) kann selten verwendet werden, da es zwischen großen Steinen nicht möglich ist, eine Abdichtung am Untergrund herzustellen.4. Eine Methode, die in langsam fließendem Wasser oft angewendet wird, ist das Aufwühlen eines abgesteckten Areals und Auffangen der aufgestörten Fauna in einem fixierten Netz. Dieses Verfahren wird dann unanwendbar, wenn die Strömung stark genug ist, daß die Bewegung eines einzelnen Steines eine Veränderung in einem ausgedehnteren Bereich nach sich zieht.5. Am brauchbarsten scheint noch der „Schaufelsammler” zu sein, wie er vom Autor (Abb. 3) und verschiedener Autoren (Abb. 2 und 4) unabhängig voneinander entwickelt worden ist. Der Apparat wird über eine bestimmte Strecke vorwärts bewegt, wodurch ein bestimmter Bereich des Untergrundes ausgegraben wird. Ein grobes Netz hält die großen Steine zurück, während kleinere Bodenteile und der Großteil der Fauna sich in einem feineren Netz sammeln.Alle diese Methoden können nur in seichtem Wasser angewendet werden. In tieferem Wasser muß man sich mit einer Dredge irgendeiner Art behelfen.Die Trennung der Fauna von den Untergrundteilen kann in einer Lösung von Kalziumchlorid mit dem spezifischen Gewicht 1,1 leicht vorgenommen werden; Ancylus und die Trichopteren in Steingehäusen gehen allerdings dabei verloren. Verschiedene Schlämmverfahren zur Erleichterung des Aussortierens sind versucht worden.Zwei Fänge, die nahe beieinander in derselben Art und zur selben Zeit entnommen wurden, können eine sehr verschiedene Zahl von Tieren ergeben (Tab. 1), was nicht verwunderlich ist, weil zwei an der Oberfläche scheinbar gleiche Untergrundquadrate in der Größe und Art der freien Oberfläche sowie im Volumen der Lückenräume völlig verschieden sein können und weil man noch sehr wenig über die Abhängigkeit der Fauna von solchen Faktoren weiß.Der Vergleich von Fängen, die mit verschiedenen Sammelmethoden durchgeführt wurden, bringt Aufschlüsse über das Verhalten einzelner Arten und über die Fehlerquellen jeder Methode (Tab. 2 und 3). Im Handnetz z. B. fehlen einige der Tiere, die an Steinen haften oder in den Lückenräumen des Kieses leben; im Schaufelsammler fehlen diese nicht. Dagegen entkommt Baetis, ein kräftiger Schwimmer, eher dem Schaufelsammler als dem Handnetz; allerdings entkommt sie auch dem Handnetz immer leichter, je größer sie wird: Die Zahl dieser Tiere scheint überhaupt in einem quantitativen Fang nie vollständig erfaßbar zu sein.Mit einem feinen Netz wurden sehr große Mengen von sehr kleinen Baetis rhodani-Larven erbeutet, aber durch ein gröberes Netz entkamen nahezu alle diese Larven (Tab. 4).RésuméLe problème est d'obtenir des prélèvements quantitatifs dans des rivières et torrents où le courant est tellement rapide que le fond est composé de cailloux libres de taille variable. Cinq méthodes utilisées dans les eaux courantes sont décrites et leur emploi en fort courant est discuté. 1. Les cailloux sont soulevés à la main et mesurés, ce qui semble être la seule méthode pratique lorsque le fond est composé entièrement de gros cailloux, mais non lorsqu'il y en a également des petits. L'auteur a fait de nombreuses récoltes, travaillant pendant un temps donné en remontant le courant, en soulevant les cailloux et recueillant les animaux délogés dans un filet tenu à la main.2. La création d'une surface artificielle pour la colonisation n'est pas possible dans les forts courants, car ceux-ci empêchent de creuser un trou assez profond pour enterrer le cadre de la surface de peuplement.3. Des boîtes et des cylindres (fig. 1) délimitant une surface donnée d'où les animaux pourraient être enlevés, peuvent être rarement utilisés parce qu'il n'est pas possible de réaliser une bonne étanchéite par rapport au fond, parmi les gros cailloux.4. Une méthode habituellement utilisée dans les eaux à courant moins fort, qui consiste à remuer vivement les cailloux d'une surface donnée et à recueillir la faune délogée dans un filet fixe, n'est pas utilisable si le courant est tellement fort que le fait de remuer un seul caillou entraîne des variations sur une plus grande étendue.5. L'instrument qui a donné le plus de satisfaction est une «pelle à récoltes» mise au point par l'auteur (fig. 3) ainsi que par d'autres auteurs, independamment (figs. 2 et 4). La «pelle» est poussée en avant sur une distance connue, et une surface donnée du substratum est ainsi creusée. Les gros cailloux sont retenus dans un filet grossier, alors que les éléments plus petits et la plus grande partie des animaux sont recueillis dans un filet fin.Toutes ces méthodes ne peuvent être utilisées qu'en eau peu profonde. En eau plus profonde, une drague d'un type quelquonque doit être employée.Il est facile de séparer la faune de son substratum à l'aide d'une solution de chlorure de calcium de poids spécifique 1·1, mais les Ancylus et les Trichoptères dans des fourreaux en pierres sont perdus par cette méthode. Plusieurs techniques d'élution pour faciliter le tri à la main ont été essayées.Il peut y avoir de grandes différences dans le nombre d'animaux de deux récoltes faites en même temps et de la même manière (tableau 1), ce qui n'est pas surprenant, car, sous deux surfaces identiques et apparement similaires, l'étendue et la nature de la surface exposée ainsi que le volume des interstices peuvent varier beaucoup, et l'on sait peu de choses quant aux réactions des animaux à ces facteurs.Le comparaison de récoltes faites de différentes manières apporte des données sur le comportement d'espèces particulières, et sur les sources d'erreur de chacune des méthodes (tableaux 2 et 3). Le filet à main, par exemple, ne recueille pas certains animaux fixés sur les cailloux ou vivant dans les interstices du gravier, tandis qu'avec la pelle à récoltes on les attrape. Par contre, Baetis, bon nageur, arrive plus facilement à s'échapper de la pelle que du filet. Il semble s'échapper en plus grand nombre du filet, lorsqu'il devient plus gros; il apparaît d'ailleurs comme un animal dont il est impossible de recueillir en nombre des récoltes quantitatives.De très grands quantités de très petits larves de Baetis rhodani ont été attrapées par un filet fin, mais presque toutes ces larves se sont échappées à travers un filet dont les mailles leur permettaient juste de passer (tableau 4).

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