Reflexions d'un solitaire
1921; Société française de musicologie; Volume: 2; Issue: 8 Linguagem: Francês
10.2307/924827
ISSN1958-5632
AutoresJ. T., André Ernest Modeste Grétry,
Tópico(s)Psychoanalysis and Psychopathology Research
ResumoSOCIETt FRANgAISE DE llUSICOLOGIE 192{ SOCIETt FRANgAISE DE llUSICOLOGIE 192{ septieme, et quand il module si douloureusement dans l'episode a trois voix de la meme aeuvre (o vita misera)..J'aimerais aussi, aupres de Pekiel, apercevoir le doux Lovies Busbetzky, bonarum al tium cultor.Mais comment parler des musiciens polonais sans mettre avec eux Gaspard Forster ?Sa vie fut celle d'un musicien (( europeerl )>, il est vrai, mais, ne a DantziC,, il fut folme d'slbold a Varsovie, chanta dans les premiers operas joues en Polor,tne (il faudrait ausbi les sic,naler), fut quelque temps mattre de chapelle a Dantzig.et finit sa vie a l'abbate d'Oliva.I1 serait aise de reconnaltre la fou^,rue poloncaise en sa musique instrumentale, et telle sinf()-wlia de sa cantate de Novil est aussi bien une pastorale polonaise qu'un souvenir de la pastorale de Fl escobaldi.Les Polonais du ssI1° siecle se gardaient bien de ne point l'honorer comme un des leuls.Nous pardonnons d'ailleurs bien vole)ntiers a M. Opienski cette omission, ainsi (Iue diveises mellues erleurs, et un peu de confusion dans le classement des faits.Car ce livre est encore du temps de guerre; bien des documents etwient inaccessibles quand il fut eclwit, et il etait bien difficile de s'appliquer alors a ordollner ceux que lon avait, avec le calme que l'eru(lition exige.Au surplus.dans cette histoire qui va jusqu'a nos jours, le lecteur frangais trouvera tant (le choses nouvelles pour lui.et qui lui plairont, qu'il n'aura pour M. Opienski qu un sentiment de gratilude, et point de critique.Surtout.quelques pieces du supplement musical le charmeront: elles demontrent en effet pOUl'QUOi llOS vieux poetes ont loue, dans les memes vers, (( Francisque de Slilan et BaOfar Polonois )), et nous y apercevons l'image de Jacob, le i'olonais, cet artiste qui fut notre.(( Galliclls ille POIODUS Qui resonum forti pollice tangit ebur n.
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