President's Page
2017; Elsevier BV; Volume: 33; Issue: 10 Linguagem: Francês
10.1016/j.cjca.2017.08.017
ISSN1916-7075
Autores Tópico(s)Health and Medical Research Impacts
ResumoWe all have pivotal points in our careers. For me, and countless others, so many of those moments revolve around the Canadian Cardiovascular Society (CCS). We all have reasons to join, from attending Congress, to making connections. Yet we don't always realize the extent to which belonging can play a huge role in our professional lives. In my experience, the benefits and opportunities have been unending. I became a CCS member as a first-year cardiology resident and went to the first annual meeting in 1988. I've only missed one since. It was 1989 when I presented my first research paper at the annual meeting. I can trace my fellowship at Stanford in part through my local champions and their national and international contacts, many of whom I met at that meeting. In fact, so many people who had an impact on my career were introduced to me at CCS meetings: Lyall Higginson, Brent Mitchell, Eldon Smith, David Waters, Ruth Collins Nakia, Paul Dorian, and others. As soon as I finished my fellowship and came on staff, I expressed an interest in helping the CCS. I recall Spud Chandler and Dave Johnstone telling me it was a chance to open doors for networking for research and clinical care. I couldn't have anticipated the breadth of all the volunteer roles to come. As many of us have discovered, that's one of the draws of the CCS—the wide range of ways to become actively involved. One of my first assignments was helping with the local arrangements for the CCS annual meeting when it was in Halifax. It wasn't long, however, before I was invited to participate in writing guidelines on revascularization. That gave me the opportunity to meet and work with a team of Canadian experts in cardiovascular surgery and interventional cardiology, and even get my name on a publication—truly exciting. I have no doubt that the contacts I made through the CCS allowed me to be chosen as a Royal College of Physicians and Surgeons examiner. I asked my chief to nominate me, and I never would have been picked if the senior members of the Royal College committee hadn't heard of me through my CCS activities. As I progressed through my career, I had the opportunity to be the LAC for Congress in Halifax in 2001. Have you ever organized a lobster dinner for 900 people? I have, along with booking the musical act and MC—my first foray into entertainment bookings! The association is a vehicle to move out of your comfort zone and take on all sorts of new challenges. My CCS journey has taken me to committee work, Council, and speaking slots at Congress. To presenting to parliamentarians on the quality of care. To being a CCS representative to the ACC. To mentoring Have a Heart bursary winners at home, and also meeting leaders in cardiovascular medicine from all over the world. I can honestly say that I wouldn't have ended up as the local chief of cardiology, or have had as many key opportunities in my career, if it hadn't been for the CCS. Over the years, the CCS has allowed me to network, which has had a direct impact on everything from my fellowship to getting jobs, promotions and research contacts. Without the CCS, I couldn't have risen through the ranks of academic medicine locally, nationally, and internationally in the same way. The association helped to educate me as a trainee, and now helps me to educate new trainees and practicing cardiologists through its library of resources. CCS has enabled me to become a better clinician too, by keeping me up to date through Congress, this publication, and made-in-Canada guidelines and position papers. Through the CCS, I've gained different sorts of professional skills too. On committees and Council, and now as President, I've had learned so much about facilitation, administration, negotiation, conflict resolution, and more. These are lessons that have served me well. Beyond my own career, the CCS has helped me advocate for public policy, educational advancements, and quality initiatives, to improve the cardiovascular care of all Canadians. None of this happens without a strong association and dedicated members. As doctors, we have the chance to join various professional associations. All have value. The CCS stands out for many reasons. It gives as a way to come together, from all across the country. To become a true community of cardiovascular specialists. To learn from each other. To give us a voice and make an impact. To help us advance the field and individual careers. Looking back on my own career, the path is dotted with CCS signposts. They represent so many of the milestones. Among the cardiovascular community, there's a passion to provide excellent clinical care, contribute to research and knowledge, and teach others what we know. The CCS facilitates that at every stage of your career. Dr Catherine Kells President, Canadian Cardiovascular Society Nos carrières ont toutes des points centraux. Pour moi et pour tant d’autres, la majorité de ces moments sont liés à la SCC. Chacun a sa raison d’y adhérer, que ce soit pour assister au Congrès ou faire des rencontres. Par contre, on ne réalise pas toujours à quel point le sentiment d’appartenance est important dans nos vies professionnelles. Tout au long de ma carrière, les avantages et les opportunités ont été sans fin. J’ai adhéré à la SCC lorsque j’étais en première année de résidence en cardiologie et j’ai assisté à ma première assemblée annuelle en 1988. Depuis, je n’en ai manqué qu’une seule. C’est à l’assemblée annuelle de 1989 que j’ai présenté mon premier article de recherche. Je me souviens de mon fellowship à Stanford grâce aux champions locaux et à leurs contacts nationaux et internationaux. J’ai d’ailleurs rencontré la majorité d’entre eux à cette assemblée. Effectivement, j’ai rencontré la plupart des personnes qui ont influencé ma carrière lors d’assemblées de la SCC : Lyall Higginson, Brent Mitchell, Eldon Smith, David Waters, Ruth Collins Nakia, Paul Dorian et d’autres. Après avoir fini mon fellowship et débuté ma carrière, j’ai manifesté mon intérêt d’aider la SCC. Je me souviens de Spud Chandler et Dave Johnstone me disant que ceci m’ouvrirait des portes vers un réseautage de recherche et de soins cliniques. Jamais je n’aurais pu imaginer tous les rôles bénévoles à venir. Comme plusieurs d’entre nous l’avons découvert, le vaste éventail de façons de s’impliquer est l’un des principaux avantages de la SCC. Lors de l’une de mes premières tâches, je devais aider à préparer l’assemblée annuelle de la SCC à Halifax. Peu de temps après, j’ai reçu une invitation à participer à l’écriture de lignes directrices sur la revascularisation. Ceci m’a permis de rencontrer une équipe canadienne d’experts en chirurgie cardiovasculaire et en cardiologie d’intervention et de travailler avec eux. Mon nom est même paru dans un article, c’était très excitant. Je n’ai aucun doute que mes contacts rencontrés à la SCC m’ont permis d’être sélectionnée comme évaluatrice au Collège royal des médecins et chirurgiens. J’ai demandé à mon chef de me désigner et je n’aurais jamais été choisie si les membres expérimentés du Comité du Collège royal ne m’avaient pas connue à travers ma participation à la SCC. Alors que ma carrière avançait, j’ai eu la chance d’être dans le COL pour le Congrès de 2001 à Halifax. Avez-vous déjà organisé un souper de homard pour 900 personnes? Je l’ai fait, et j’ai aussi réservé les musiciens et le maître de cérémonie – ma première expérience en réservation de divertissement! L’association est un moyen de sortir de votre zone de confort et d’entreprendre divers nouveaux défis. Mon parcours à la SCC m’a menée vers le travail de comité, le Conseil et les discours aux Congrès, mais aussi jusqu’à présenter la qualité des soins à des parlementaires et à être représentante de la SCC à l’ACC. J’ai aussi pu parrainer les gagnants des bourses Ayez du cœur à domicile et rencontrer les leaders mondiaux de la médecine cardiovasculaire. Honnêtement, je peux dire que je ne serais jamais devenue chef du département de cardiologie local et n’aurais jamais joui d’opportunités clés dans ma carrière sans l’aide de la SCC. Au fil du temps, la SCC m’a permis de faire du réseautage qui a directement influencé ma carrière : mon fellowship, mes emplois, mes promotions et mes contacts de recherche. Sans la SCC, jamais je n’aurais gravé les échelons locaux, nationaux et internationaux de la médecine académique de la même manière. L’association a joué un rôle dans mon apprentissage de stagiaire et m’aide maintenant à instruire les nouveaux stagiaires et les cardiologues grâce à sa vaste gamme de ressources. La SCC m’a aussi permis de devenir une meilleure clinicienne en me tenant informée à l’aide du Congrès, cette publication, ainsi que les lignes directrices et les énoncés de position du Canada. J’ai aussi développé plusieurs compétences professionnelles à l’aide de la SCC. Au sein de comités et du Conseil, et maintenant en tant que Présidente, j’en ai beaucoup appris sur la facilitation, l’administration, la négociation, la résolution de conflits, etc. Ces apprentissages m’ont été fort utiles. Au-delà de ma carrière, la SCC m’a permis de revendiquer des politiques publiques, des avancés pédagogiques et des initiatives en matière de qualité afin d’améliorer les soins cardiovasculaires de tous les Canadiens. Rien de cela n’est possible sans une association solide et des membres dédiés. En tant que docteurs, nous avons la chance de nous joindre à plusieurs associations professionnelles. Elles sont toutes importantes. La SCC se démarque de diverses façons. Elle rassemble les gens de partout au pays pour devenir une vraie communauté de spécialistes du domaine cardiovasculaire, apprendre des autres, nous donner une voix et avoir de l’incidence et nous aider à faire avancer le domaine et les carrières personnelles. En rétrospective, le parcours de ma carrière regorge de jalons de la SCC. Ils représentent énormément d’événements marquants. Dans la communauté cardiovasculaire, on retrouve la passion d’offrir d’excellents soins cliniques, de contribuer à la recherche et au savoir et d’enseigner nos connaissances aux autres. La SCC l’encourage à chaque étape de votre carrière. Dre Catherine Kells Présidente, Société canadienne de cardiologie
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